
Le souffle du train rapproché
Vagissement de lune
Dans la pleine la voix raccordée recolle au réseau ferré
Le jardin se tient au lit du grand fleuve sans besoin des brassières
Apaisé l’horizon découvre en premier la silhouette du cerisier dans le levé du jour
La voie guette l’arrivée du bon jour en tête de convoi
Aiguillage du tunnel en décolleté sur la jetée où la vague se reconnait les yeux fermés
Et dans la musique d’une semaille d’étoiles en flocons les étocs de défense-côtières se font limer les dents.
Niala-Loisobleu – 28 Mars 2021
Bonjour Mon
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La rambarde tient envol
la branche est souple à l’élan des seins
ce ciel nu habille l’amour de son plus beau
ta nature à la mienne croise la plus sauvage race humaine à l’équin mâtiné du chien…
Oui bonjour Ma.
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