Fermer

ENTRE TIEN EMOI 6


a5ac5ac76d480f42d4dd0e744a5bf8c8

ENTRE TIEN EMOI 6

-Où sommes-nous lui dit-il le revolver sur les bourses ?

-Au coin du bandit

-Ah le grand chemin ?

La carte sur la table a grand peine à se déplier, déjà pour sortir du tiroir ça pas été sans problèmes, avec cette chaleur de début de fin du monde tout est écrasé menu, absent comme un citoyen aux urnes, incapable de pas se laisser tondre. On est dans la merde à croire qu’en canicule on s’attrape pas la gastro-nomique platée du rade qui respecte rien de la réglementation en vigueur. Les restes recongelés, un truc de garde du corps qui défaille de la grosse bêtise comme y disent dans le chiotte présidentiel. A-ton idée aussi d’y loger la République, ce château de loir hiverne l’intérêt public.

Paradoxe total

Mais TOI dis-moi des choses qui me courront la côte de la hanche droite à la fesse gauche, sans oublier le centre à l’arête engagée, ce qui en surprendra plus d’un, pensez qu’à son âge il se dresse encore comme un jeunot à vouloir refaire le monde, un libertaire répond-il, je suis, c’est mieux qu’un libertin qui ne pense qu’à prendre du plaisir dans le stupre et factions extrêmistes.

La veille de cette journée soit avant le lent demain je m’étirais un coup hors du sable.

Le risque qu’on peut prendre en s’engageant ça pourrait expliquer la prudence de la plus grande majorité. Mais voilà ça m’a pris au début, de vouloir exister. J’tiens ça de Marthe, une grand-mère comme on en retrouvera nulle part. La chaleur fait fondre le peu de résistance qui demeurait. Je vais dans la chambre du fond, derrière la porte de l’indifférence, serre-moi de toute ta bouche, ton oxygène me tient pur. Je crierais fort quand tout va partir, faut que je pleure pour me défaire.

Niala-Loisobleu – 27 Juillet 2018

AUTREMENT


d44dc7006eb5df94f9b9438fca1abd0d

 AUTREMENT

 

A l’aube, les yeux dans l’éboulis, le rai force
levier qui voit bien les cercles concentriques de l’épervier
il glisse à passer, en appui sur un minuscule caillou pour point de levage.

Le vent a sorti ses sorcières
un immense charivari claquemure, déracine et envoie les volets au rabat
corps à corps de l’allumage avec le coupe-circuit

Autrement ce qui oui fait non
l’ouverture tourne au double-tour
Autrement le soleil tombe à seaux
Autrement le baiser mord
Autrement l’arbre dressé s’abat de tout son long sur la voix
au tressauté de sanglots le sol déchire la clef de l’apporté

Et au bout d’une tuile romane l’arrondi se raidit à briser l’arêtier
un déversoir perforé de balles noie le chien dans le bond de son jeu
la marche-en-avant dévisse, désencordée de l’ascension
l’à-pic arrête le truc à plumes en haut du grand escalier

Autrement dit
Autrement fait
Le même geste a changé de sémaphore
Le même mot prend l’accent du tant qui fait

Autrement
assis sur le tapis
la main sur la manivelle
bleue
fait chanter la montée du chevalet
ô rangé
il était une foi les couleurs complémentaires…

 

En réponse: https://lireditelle.wordpress.com/

 

Niala-Loisobleu – 2 Mai 2018

Station de crois


51176962171bae5e0806c0710124cd74

Station de crois

 

Evadé du mur,  je ravale à chaux vive le caillou poreux

il suffit d’une sandale pour lasser la plante du pied, fakir s’abstenir

on peut trouver plus facilement un cobra gîté au panier de crabe

que ses lunettes dans le serre-pan d’une chemise être

Elle aimait accrocher sa poitrine aux bretelles du périphérique

Nationale 7, à l’apporte d’Italie mon chat peau aime se coucher dans la paille

et Côme home je penche Pise j’oublie

Quelques pense-à-te-souvenir -d’émoi ça chatte hurlait Lady by good

surtout si tu hanches la clarinette au tempo de ton bas do

Muse hic maestro…

N-L – 29/01/18

 

 

 

 

 

Buddy Guy – Stay Around A Little Longer


IMG_1965

Buddy Guy – Stay Around A Little Longer

 

Wouah, que je l’aime cette garce, mais sans te dire merci Seigneur

faut pas prendre les canards sauvages pour des enfants de bête à bon dieu

la vache de dernière qui m’a dit je n’aime que toi

aimait la queue qu’y avait devant son chez-soi

 

Wouah, que je l’aime cette garce, mais sans te dire merci Seigneur

j’ai c’est vrai l’innocence aux mains plaines

plaine ô ma plaine de merde

que je m’éclabousse quand je fais bbbrrrrrrrr avec ma bouche

 

Wouah, que je l’aime cette garce, mais sans te dire merci Seigneur

ski m’fais gerber, la montagne j’aime pas

le vain show tu parles d’un cadeau

putain, salope, à Noêl j’ai les boules bleues comme j’aime pas

 

Niala-Loisobleu

22/12/17

 

 

 

Je remercie le Seigneur de me laisser rester un peu plus longtemps
Jusqu’à ce que je suis, a obtenu beaucoup plus de donner
Je remercie le Seigneur de me laisser rester un peu plus longtemps
Dieu sait que je l’aime Ma vie

Cette ancienne route a été si bon pour moi
On m’a donné beaucoup plus que je ne rêvais
Je ne jamais arrêter de jouer ces Blues
Voilà ce que je pense, il m’a mis ici pour faire

Je remercie le Seigneur de me laisser rester un peu plus longtemps
sens comme j’ai beaucoup plus à donner
Je remercie le Seigneur de me laisser rester un peu plus longtemps
Dieu sait que je l’aime la vie que je vis

Tant de bons amis, je l’ai perdu en cours de route
Je sais Je vais ’em réunira à nouveau le un jour Uncloudy

Nous avons parcouru un long chemin , mais nous sommes loin d’être fait

Je remercie le Seigneur
Je remercie le Seigneur de me laisser rester un peu plus longtemps
Mais je sens que je suis beaucoup plus à donner
Je remercie le Seigneur de me laisser rester autour un peu plus longtemps
Dieu sait que je l’aime la vie que je vis
Merci, Seigneur, je l’aime la vie que je vis

Vous avez ce droit , B, I love la vie que nous vivent, Buddy
Je passe de nombreuses nuits à vous écouter jouer
vous semblez toujours bon, oh, vous aussi bon son, Buddy
Continuez à faire ce B

votre pseudo est un bon nom pour moi
Parce que je crois que vous êtes mon copain
J’adore la vie que je vis
tu es la meilleure qui ait jamais fait et est parti avec elle

Eh bien, merci beaucoup
Vous ne se fait pas si mal vous-même, vieux garçon
Quand je pissenlits par la racine, ne pas oublier
Vous êtes toujours mon pote

HUMAN


HUMAN

Maybe I’m foolish, maybe I’m blind
Peut-être suis-je idiot, peut-être suis-je aveugle
Thinking I can see through this and see what’s behind
De penser que je peux voir à travers tout ça et voir ce qu’il y a derrière
Got no way to prove it so maybe I’m lying
Pas moyen de le prouver alors peut-être que je mens

But I’m only human after all, I’m only human after all
Mais je ne suis qu’un être humain, je ne suis qu’un être humain après tout
Don’t put your blame on me (x2)
Ne me rejetez pas votre faute

Take a look in the mirror and what do you see
Jetez un œil dans le miroir et que voyez-vous
Do you see it clearer or are you deceived, in what you believe
Est-ce plus clair ou êtes-vous leurré, par ce que vous croyez

Cos I’m only human after all, you’re only human after all
Parce que je ne suis qu’un être humain après tout, vous n’êtes qu’humains après tout
Don’t put the blame on me
Ne me faites pas endosser la responsabilité
Don’t put your blame on me
Ne me rejetez pas votre faute

Some people got the real problems
Certaines personnes ont de vrais problèmes
Some people out of luck
Certaines personnes n’ont pas de chance
Some people think I can solve them
Certains pensent que je peux les résoudre
Lord heavens above
Seigneur des cieux
I’m only human after all, I’m only human after all
Je ne suis qu’un être humain après tout, je ne suis qu’un être humain
Don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas la faute
Don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas la faute

Don’t ask my opinion, don’t ask me to lie
Ne me demandez pas mon avis, ne me demandez pas de mentir
Then beg for forgiveness for making you cry, making you cry
Puis implorer pardon de vous faire pleurer, vous faire pleurer

Cos I’m only human after all, I’m only human after all
Parce que je ne suis qu’un être humain après tout, je ne suis qu’un être humain
Don’t put your blame on me, don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas votre faute, ne me faites pas endosser la responsabilité

Some people got the real problems
Certaines personnes ont de vrais problèmes
Some people out of luck
Certaines personnes n’ont pas de chance
Some people think I can solve them
Certains pensent que je peux les résoudre
Lord heaven’s above
Seigneur le ciel est là-haut
I’m only human after all, I’m only human after all
Je ne suis qu’un être humain, je ne suis qu’un être humain après tout
Don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas la faute
Don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas la faute
I’m only human I make mistakes
Je ne suis qu’un être humain, je fais des erreurs
I’m only human that’s all it takes to put the blame on me
Je ne suis qu’un être humain voilà tout ce qu’il faut pour me rejeter la faute
Don’t put your blame on me
Ne me rejetez pas votre faute

I’m no prophet or messiah
Je n’ai rien d’un prophète, ou d’un messie
Should go looking somewhere higher
Vous devriez chercher quelque part plus haut

I’m only human after all, I’m only human after all
Je ne suis qu’un être humain après tout, je ne suis qu’un être humain après tout
Don’t put your blame on me, don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas votre faute, ne me rejetez pas la faute
I’m only human I do what I can
Je ne suis qu’un être humain je fais ce que je peux
I’m just a man, I do what I can
Je suis juste un homme, je fais ce que je peux
Don’t put the blame on me
Ne me rejetez pas la faute
Don’t put your blame on me
Ne me rejetez pas votre faute

ROUE A AUBE


FullSizeRender (3)

ROUE A AUBE

Le magasin de ce Lundi n’a pas ouvert son rideau, quel sera le plat u jour ? Il y a dans la fraîcheur du matin, l’humide perle de rosée qui risque un oeil au bout de la branche. A part une pie voleuse qui marche sur le toit de la cabane, rien ne sort du lit de la rivière. Je laisse mes yeux dans la chaleur du rêve où hier soir ils se sont endormis.

Insanes histoires de la vie,

Toutes voix tues
Reste le bruit éternel du sang.
Debout sur les désastres des guerres
Brillent les vains débris du monde,
Le ciel rempli de fantômes d’aurore.
Cachée dans les brouillards des villes,
La peur fait bouger les engins du rêve

Un doigt déchiffre la langue morse
Des fièvres profondes,
La litanie des oracles perdus

Tout va se refaire sous nos pas
Au seul cri du matin
Et les ruines s’illuminer d’aube.
Aube, première aube toujours déchirante,
Qui construit la journée avec le néant.

Albert Ayguesparse  (Les armes de la guérison – extrait)

Le laitier réveille les pis du bruit de ses bidons, une vieille histoire triste colle à la paille chaude de l’étable. L’oiseau rieur s’essaie depuis la nuit des temps à changer l’heur du commencement. Un homme de mauvais foie a laissé son fiel dans l’huile des rouages. Je ne suis pas de ceux qui plaisent, ma nature ne fait jamais l’effort de refuser le bonheur de vivre. Ah la bouteille et sa moitié pleine ou vide c’est plus un sarment d’ivrogne de l’amer que la fille de joie vierge du jardin des délices. Au bar de la Marine on aime se ressasser l’infortune d’avoir un fil à retordre dans chaque pore. Pourquoi vendrai-je mon sourire au diable, il ne changerait rien au seul âge qui soit vrai: celui de mes artères. Les Chemins des Dames ne devraient pas être faits pour les commémorations funestes de la connerie humaine, mais pour hâler la rencontre de l’Amour.

Niala-Loisobleu – 17 Avril 2017

FullSizeRender (20)

.

PROMENADE LE LONG DU M’AIME VISAGE


 

71fda5340062b068fcb7f5ccc2e75d95

PROMENADE LE LONG

DU M’AIME VISAGE

Encore dans les bras du noir comment savoir la couleur qui fera de ce jour un vent porteur ou un théâtre en relâche. Là comme il est dans le fond froid de sa tasse, les lunettes en serviette sur les yeux et la mèche éteinte au prélude des premiers pincements de la guitare. La mer est plate. Quelques bulles cognent à la vitre de l’aquarium de la philosophie Descartes de géographie. Le pain dore au bord de la mie.

I Remember You (Je Me Souviens De Toi)

.
Me réveillant au son d’une averse

Le vent chuchoterait et je penserais à toi

Et toutes les larmes que tu as versé m’appellaient

Et quand tu avais besoin de moi j’étais là pour toi


Je peints un tableau des jours qui ont passés

Quand l’amour m’aveuglerai tu me ferais voir

Je passerais une éternité à regarder dans tes yeux

Alors je savais que tu étais là pour moi

Jour après jour tu étais là pour moi

Me rappelant d’hier, lorsque nous marchions main dans la main

Lettres d’amour dans le sable, je me souviens de toi

De toutes nos nuits et tous nos coucher de soleil

Je voudrais t’entendre dire – Je me souviens de toi

Nous avons passé l’été le toit baissé

Souhaitant que ça serait toujours comme ça

Tu disais « Je t’aime » sans faire un son

J’ai dis que je donnerais ma vie juste pour un baiser

Je vivrais pour ton sourire et mourir pour ton baiser

Nous avons eu notre lot de moments durs

Mais voilà le prix que nous avons payer

Et à travers tout ça nous avons gardé la promesse que nous nous étions faite

Je jure que tu ne seras jamais seule

Me réveillant au son d’une averse

Captivé par un rêve de toi

Mais rien d’autre ne pourrait te refaire fondre

Parce que tu vas toujours être mon rêve qui est devenu réalité

Oh ma chérie, je t’aime

L »asphalte remonte à la gorge du sentier, depuis qu’on ne se promène plus à pieds. Là où le chemin était celui des douaniers, la lande réverbère les soirs de pleine lune. Les yeux grands ouverts dans le lit clos de la crique des bains de minuit. Flottant sur les vagues tes seins me tendent toujours leurs mains. Il n’y a pas d’autre couleur pour nager que celle de ta rosée. Sans ailes je brûle. Le vélo est voilé comme une évasion manquée. Si l’herbe était plus verte ailleurs ça se saurait. On peut toujours changer de cravate avec une chemise à sortie, il n’empêche que ce qui rend le plus beau c’est bien peau dans la peau. Mais deux mains c’est en corps aujourd’hui,

Niala-Loisobleu – 12 Avril 2017

https://www.youtube.com/watch?v=mdIJ2mRvTGs

Enregistrer

AZULEJOS


AZULEJOS

Suie

bistre comme s’enfume

 qui conduit à courir sur les Toi pour prendre l’erre

d’un couloir qui se cherche une sortie

par la n’importe laquelle de tes entrées qui s’rait pas fermée

ou verte

tu sais plus bleue que t’abats blond

bitume blues pas trop couard

pour s’décrasser les poumons

en se r’soufflant dans l’cornet

 pour se r’jouer un by b’hop

youp là boum

qui f’rait en faim sauter l’bouchon !!!

N-L – 10/12/16

 

TOUT S’EFFACE


TOUT S’EFFACE

Oui j’ai des erreurs à regretter
J’ai laissé passé du temps à espérer
Je n’ai qu’une envie c’est de voir mes proches m’aimer
Je ne veux pas avoir à quémander le respect
Je suis lessivé, excédé
J’veux pas retourner déposer des CV
Avec le temps crois moi poto rien n’est resté
Qui me pleureras quand je serais décédé?
Et en face de ma classe je constate que je m’encrasse
J’paierais de mon sang mes erreurs tôt ou tard
J’aimerais que l’allégresse m’embrasse
Et les gens changent, tout s’efface
On s’retrouve au point de départ
On se sent mal, tout nous lasse, mais j’reste de marbre

J’ai cru que j’avais une triste histoire
Mais quand t’es dedans, dur d’y croire
J’avais les menottes et la vie du chtar
Aujourd’hui pas loin de la vie de star
Dans mon histoire des fautes d’orthographes
Effacées par des autographes
J’ai toujours cru que je touchais le fond
Mais je pète la forme et les choses se font
J’étais dans le faux c’est une chose qui est vraie
J’ai le sourire, rien ne m’effraie
Le temps passe, la Terre tourne
J’suis figé, j’attends mon tour
Mon gars Abou, j’suis à bout
Dur d’avancer les deux pieds dans la boue
Notre enfance collège Paul Gauguin
Aujourd’hui faut qu’on amasse des gains

Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface
Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface

Seigneur ayez pitié de moi le jour où je partirai
J’ai peur d’avoir niqué ma vie à faire le passionné
Je parle au nom de tout le monde, rien de personnel
A vouloir aller trop vite on finit par saigner
Malheureusement le temps nous appâte
Car il sait que j’suis dans de beaux draps
Le Diable tente de noircir mon âme
Pendant que mes gars apprécient mon art
Donc épargnez vos discours de taré
Si la zik est un trou noir j’avance sans savoir où aller
Des projets de papiers, loin des guerres de quartier
J’suis venu écrire l’histoire si tout s’efface laisse les parler

Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface
Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface

Le temps passe et moi j’ai l’impression de tourner en rond
Malgré ma constante évolution
Pas une ride sur le visage mais la pression
De navrer mon daron
Comment s’en sortir dans ce bas monde?
Le temps c’est devenu de l’argent
Mais y’a plus le temps de dépenser cet argent
Fuck les plans, agis sur le moment
La mort en Rolex s’impatiente
Je ne suis qu’un homme que Dieu me pardonne
Aveuglé à la vue des sommes
Le temps effacera-t-il tous mes défauts?
Ooh oh ah

Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface
Avec le temps qui passe, tout s’efface, tout s’efface
Les douleurs, les larmes, les drames, tout s’efface

 

Revenir en haut
%d blogueurs aiment cette page :