
D’espoir et de tendresse / Paul Eluard
Je te l’ai dit pour les nuages. Au premier mot limpide. Elle ne sait pas tendre des pièges. Dormir. Elle ne vit que par sa forme. Marine. Le coin du coeur. Couvre feu. Bonne justice. Le front aux vitres. Tant de rêves en l’air. Bêtes et méchants. En souvenir d’un fauve. A peine une part de souffle. Je fis un feu. Mes soeurs prennent dans leurs toiles. Tu glisses dans le lit…. La nécessité. Je suis devant ce paysage. Dans les parages de son lit. Belle et ressemblante. Par douze douceurs. Plus c’était un baiser. Notre vie tu l’as faite. Dominique aujourd’hui présente. La mort, l’amour, la vie. Liberté. L’amoureuse. Nuits partagées. Dimanche après-midi. Rayon des yeux…. Le matin les branches attisent…. Tout disparut…. Dans les ténèbres du jardin. Unis la fraicheur et le feu. Homme au sourire tendre. La grande rivière qui va…. Liberté. Tu vois le feu du soir. Je ne suis pas seul. Poésie interrompue. Bonne journée. Une ruine coquille vide. Le front comme un drapeau perdu. Une roulotte couverte en tuiles. A toutes brides. Une herbe pauvre. Je n’ai envie que de t’aimer. Figure de force brûlantes et farouche. Nous avons fait la nuit. Notre vie. Printemps. La poésie doit avoir pour but la vérirté pratique. Peut-il se reposer… ?. Il la prend dans ses bras. Plume d’eau claire…. Rôdeuse au front de verre…. Amoureuses. Bonne justice. Aujourd’hui. Courage.
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