La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Au chant des coqs polyglottes que traduit le point du jour
la première marée hâle à elle le germe de l’oeuf sur l’écume de la rosée neuve
du creux de l’aisselle au renversé du sein
alors que du coeur de l’yeuse sort le premier roucoulement du pigeon sauvage
Que sortira-t-il des coquillages quand la vague se retroussera ?
D’abord cette fleur de sel qui tourne de ta langue à la mienne dans l’émoi
les tableaux que j’ai mis entre des rubans dans l’armoire sous le tissé de lin des draps unissent le mouvement de mon présent sans que le passé case les elfes dans l’allée des pierres tombales
Bâtisseur quand je brasse la mer, des maisons-blanches en naissent sans qu’un Titanic se prenne pour une croisière
à part les enfants d’aujourd’hui qui renient leur père, le bon-oeil du fronton garde pour moi son symbole
Ta peau ravale ce tant qui vieillit
les poubelles ne cernent pas ton regard sur le jardin
à l’estuaire où tu m’écluses, cette baie de mouillage lève toujours ma vieille coque pour l’extrême.
Et brûle-moi en vie Il ne peut pas être apprivoisé ou satisfaits Il n’y a pas de pitié Pour ceux qui sont tombés ou pour les faibles L’amour est un vilain mot pour parler
Je ne veux l’aime pas plus Il n’y a rien comme l’homme que j’aimais avant Mais la douleur est réelle confortable Quand tout y a obtenu Les cendres et la fumée, ils ne peuvent pas concurrencer Pas même l’enfer peut prendre la chaleur Je serai glisser hors de mon siège Pour sa flamme
Son amour est comme le feu sur le plancher Il m’a en cours d’exécution pour la porte Mais je serai de retour pour plus rampais De son feu sur le plancher
Il n’a pas d’importance ce que disent ya Vous ne pouvez pas survivre, il n’y a pas moyen Alors ce soir, je vais rester Et jouer avec son feu sur le plancher Voulez-vous jouer avec son feu A l’étage enfant, enfant
Cet amour un peu Ne pas besoin pas de draps de lit ou de satin Rien doux Rien doux ou sucré à boire L’amour est une leçon Vous êtes né pour ne jamais apprendre Et votre âme mendier à brûler
Je ne veux l’aime pas plus Il n’y a rien comme l’homme que j’aimais avant Il y a un panneau au-dessus de la porte Dire sans issue Les cendres et la fumée, ils ne peuvent pas concurrencer Pas même l’enfer peut prendre la chaleur Je serai glisser hors de mon siège Pour sa flamme
Son amour est comme le feu sur le plancher Il m’a en cours d’exécution pour la porte Mais je serai de retour pour plus rampais De son feu sur le plancher Il n’a pas d’importance ce que disent ya Vous ne pouvez pas survivre, il n’y a pas moyen Alors ce soir, je vais rester Et jouer avec son feu sur le plancher Je vais rester Et jouer avec son feu sur le plancher Je vais jouer avec son feu sur le plancher
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.