CETTE LUMIERE DU BOUQUET
En corps endormi
te voilà
lumière aux fenêtres
à percer la nuit
d’une odeur à réveiller…
Niala-Loisobleu – 28 Avril 2020
CETTE LUMIERE DU BOUQUET
En corps endormi
te voilà
lumière aux fenêtres
à percer la nuit
d’une odeur à réveiller…
Niala-Loisobleu – 28 Avril 2020
Oui, c’est vrai je n’ai pas mis le « meilleur » de l’enregistrement de cette chanson de Violeta. Mais rassures-toi, Les mains flâneuses, c’est pas par méconnaissance de cette artiste, mais par choix en fonction de ce que j’avais écrit. Concernant le monde en son entier et non quelqu’un par rapport à sa sensibilité propre. Mais l’as-tu lu ? J’en doute. Ce choix qui nous autorise sur ce blog, à faire du notre ce que nous en voulons, ce que nous en décidons en fonction de CE QUE NOUS SOMMES et non en ce qui me concerne, à me joindre au plus grand nombre du n’importe quoi pour me noyer dans l’océan de merde qu’est internet. L’anonymat ne me sert pas de couverture. J’apparais clair et net, nom, adresse, profession, âge sur tous mes sites. Et puisque c’est le langage, l’échange et la rencontre prétendues de l’époque, j’ai choisi d’y venir pour défendre les valeurs qui sont miennes. L’une d’entre elles, touche au respect de l’autre, de ce qu’il fait, dès lors qu’il fait. Je n’entre pas chez un internaute sans « dire bonjour » pour dire non faut faire autrement…et me planter dans mes coms en tapant hors sujet, le tout en repartant sans m’excuser d’avoir laissé ma merde. Je n’imagine pas un instant que tu ne vas pas prendre ça comme je l’entends. A savoir que je ne t’attaque pas, ne te parle de merde qu’au sens du dépôt incongru dont nos trottoirs ont à souffrir par mépris de la règle de respect élémentaire. J’ai partagé sur le vif l’histoire chilienne dans son Pinochet drame. Juste pour dire que je crois savoir de quoi je parle.
J’ai connu Violeta à Paris. Durant son séjour de quelques années, avant qu’elle ne rentre au Chili se suicider…après avoir dit Gracias a la vida…
Je me suis abonné à ton site, parce que j’apprécie ce qu’il contient. Si cela est possible après mes mots francs, que tu comprennes qu’ils ne changent rien à mon appréciation, nous nous reverrons.
Avec Joie !
Alain
Niala-Loisobleu – 18 Janvier 2018
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