
DE PRINTEMPS ET DES NEIGES
Un soleil attrape l’averse au vol par les cordes-vocales
Ses seins déploient en rose-bistre l’onde sans tilt
Saisissant les hanches pour le mirliton je l’embouche par les yeux
Elle s’ouvre en façade de fenêtres à percer les congères
Trapèze pour l’oiseau qui vole débusquer l’églantine au bec
Du promontoire de l’aine au passage d’Annibal au col rien ne trompe
L’éléphant est porteur de rose tout comme le cerisier qu’Odilon sort à Noël en nativité admissible
Pour faire chanter L’Amoureuse de Grindel au choeur de la nef laïque et pleurer sans raison autre que l’aimer
La joie attachée au pétale de Marguerite.
Niala-Loisobleu – 29 Décembre 2020
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