(Traduction)
Quelque chose m’a dit que c’était fini, bébé, ouais
Quand je t’ai vu
Quand je t’ai vu toi et cette fille
Et vous parliez tous
Quelque chose au fond
Quelque chose au plus profond de mon âme a dit
« Vas-y, vas-y et pleure, ma fille »
Quand je t’ai vu, quand je t’ai vu avec cette même personne
Et vous vous promeniez
Et je préfère
Je préfère être une fille aveugle, bébé, ouais, ouais
Que de te voir t’éloigner, t’éloigner de moi, bébé
Ne me quitte pas, je ne veux pas te voir partir
Parce que tu vois, je t’aime tellement
Et je ne veux pas te voir me quitter
Je ne veux pas te voir me quitter, bébé
Et une autre chose est, une autre chose est
Je ne veux pas, je ne veux pas être libre
Peur d’être tout seul
J’étais juste, j’étais juste assis ici à penser
À propos de ton doux baiser et de ton, ton étreinte chaleureuse
Hmm, ta chaleureuse étreinte
Hmm, yo, yo, chaleureuse, chaleureuse étreinte
Quand je baisse les yeux dans le verre que je porte à mes lèvres
Et j’ai vu le reflet des larmes couler sur mon visage
C’est alors que j’ai su que je t’aimais et que je ne pourrais pas me passer de toi
Et je préfère être une fille aveugle
Bébé, bébé, bébé, bébé, bébé
Bébé, bébé, bébé, non, bébé, oh, oh
Oh bébé
Toute la journée assis
Assis en pensant à vous
Moi-même, je ne veux pas te voir partir
S’il vous plaît ne partez pas
Oh, bébé, non, bébé, oh, bébé
Je préfère être une fille aveugle
Quelque chose m’a dit que c’était fini, bébé
Quand je t’ai vu
Quand je t’ai vu toi et cette fille
Et vous parliez tous
Quelque chose au plus profond de mon âme a dit
« Vas-y, vas-y et pleure, ma fille »
Quand je t’ai vu, quand je t’ai vu toi et cette fille
Et vous marchiez tous
Et je préfère devenir aveugle, je préfère devenir aveugle
Je préfère devenir aveugle, bébé
Que de te voir partir, partir
Ne pars pas parce que je préfère devenir aveugle
Catégorie : Jeff Beck
LE CHOIX FAIT
LE CHOIX FAIT
Du vent qui disperse se déversent les derniers pas qu’on veut pas perdre
je m’ai accroché à l’arbre
puis en brassées l’âne m’a dit : « Marches on a toujours à apprendre »
ce qui m’a fait botter en touche les fesses qui dégouttent…
Niala-Loisobleu.
14 Janvier 2023
LE CABINET DE TOILE ÊTRE
LE CABINET DE TOILE ÊTRE
Aux crins des brosses un parfum tête baissée qui passe
la glace pour mémoire donne la seule image d’un reste à faire face
Du lin à carreaux en page d’écriture j’en ai bordé des marges dans les spirales d’efluves
plus nu qu’émoi tu meurs
notait mon pinceau sans mentir
que la question se retourne et fugue la réponse
A quoi ça sert Pierre après Pierre d’atteindre à la célébrité pour se retrouver seul ?
Je sais que la brasse-papillon finit par toucher à la pratique de la coulée à la rive du dernier échelon comme la gueuse est faite pour hâler au fond
C’est comme le cheval qui tombe sa crinière pleine de taire, hors des bras de la charrue diserte
Voilà ce qui s’appelle un sans constat d’adultère, ricane la glace envahie elle-même par la buée – n’empêche que c’est dur à se reconnaître cocu ?
Non il s’agit pas de ça
juste d’une question de place, je ne peux m’arrêter de peindre qu’en touchant l’autre rive.
Niala-Loisobleu.
13 Janvier 2023
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