
D’où cet air qui me vient
Le bord de sable ému par la mer
la marque de l’oiseau empreinte l’ongle des pâtes
souffle que balance le sein lourd aux marées
pour m’amener à me dénuder pour rejoindre la lune au bain
à mélanger le jus de nos reins au-devant du soleil
Ce qui me reste d’enfant colorieur imagine l’homme à cheval sur la dune mouvante de ta croupe empanachée
La nuit baigne le jardin des toiles d’allers-retours d’orgasmes équins.
Niala-Loisobleu – 1er Juin 2022
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