La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Crissement de chaleur que l’absence d’ô investit à l’approche des fanes dans une parodie de lumière où l’apparat ambulant ouvre sa ménagerie en l’absence de M. Loyal
Cette raideur de l’iris manque du balancement de vague végétale dû à la portée de l’émotion que la grandeur de Vincent aura tenu au malheur de l’indifférence durant son vivant
Voici les corbeaux qui migrent en terres à blé
Je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a plus de cruauté dans l’amour dont on parle que dans celui que l’on fait. L’échelle de valeur de la lumière est plus à pile qu’à énergie solaire comme le montre la ligne de gros-nuages en arrière-garde. Cette fleur finira hors de la toile de lin pour abuser la réalité des autres
Au pied de la couleur fauchée Chiron surgit, en nautonier pour l’autre rive.
« Allumez le feu » chantait la Voix de son Maître en duo avec son chien, le temps de quelques bassins décidée à plus se raser, il appareille
Manche à air orientée façon drakkar, les rhunes de la ville sorties du boulevard du crime, la porteuse de pains et les deux orphelines prirent l’amer
Ah calanques mezzo soprano votre tessiture centrale axent dans le cap
La réunion d’une diversité d’algues enrichit la soupe de quelques fleurs penchées dans les fougères, roux au gré des blonds-vénitiens, Place St-Marc le biset roucoule en escadrille , que ça se gondole au plaisir des dames sans faire chier Dreyfus pour plainte de grincement de violes
L’amour courtois émoi
chantonne Guenièvre à travers le moucharabieh qui la sépare du front de mer
Taire ! Taire ! Taire !
Lacoste en vue tire son petit-crocodile par l’aqueux, nous ne décrirons pas de misère au thérapeute, rien que du bonheur sur canapé.
Marchant d’un feu follet dans le vieux cimetière, la peur que je ressentis de mourir me vint en croisant ces monuments funéraires d’une prétention aussi laide qu’indécente
Imagine la pauvre luciole qui arrive à poil devant un tel étalage d’orgueil
Mais comprendras-tu que cette gêne ne provienne pas d’une absence de costume ?
J’allais plus loin aussi vite que je pus, la navette entre moi et ma façon d’être n’était pas revenue de faire pisser le chien
Nous nous assîmes sur un pierre renversée que l’herbe fleurissait de son bon comme du mauvais et la pensée philosophique me tira les cartes pour me faire la bonne aventure
A quoi bon vivre à espérer s’il n’y a rien à attendre, me dis-je ?
Le chien me serpilla le regard d’un coup d’employé de surface scrupuleux de son ouvrage
Pourquoi attendre de quelqu’un qui attend de recevoir au lieu de donner sans préméditer?
Le plus gros du quiproquo vient de cette erreur d’observation
J’en suis l’impardonnable fautif depuis le commencement pour n’y avoir jamais rien changé
Seulement le refus de se rendre est autrement plus louable dans ce foutoir où tous les trafics se foutent des règles pour satisfaire l’égo en premier
Si le soleil est à vendre, j’en arrive à penser que dans l’ombre se trouve une forme pure de lumière…
Rien n’est vraiment le même sauf ce que l’on sème Écrire est à l’art ce qu’aimer est au hasard L’on retrouve le même aux accents d’un « je t’aime » Et le poème a part au désir qui démarre
Contre trop de fumée on tend à fulminer Face aux rideaux l’on peste – qu’est-ce qu’il en reste ? Oui ! Le poids des années qui nous ont malmenés On le prend – on le teste – on ne change sa veste !!
Il se rend en la forme quand on le transforme Et la beauté des choses rencontre la rose On découvre printemps par tous les mauvais temps
Tumulte de l’informe … Tu nous désinformes Il est temps que s’impose Liberté – qu’on ose Animer tant et tant avec le bel instant
Dans chaque ville, sur toute la ligne? Over every town, up and down the line?
Et je mourrai dans les nuages au-dessus And I’ll die in the clouds above
Et toi que je défends, je n’aime pas And you that I defend, I do not loveJe me réveille, c’est un mauvais rêve I wake up, it’s a bad dream
Personne de mon côté, je me battais No one on my side, I was fighting
Mais je me sens juste trop fatigué pour me battre But I just feel too tired to be fighting
Je suppose que je ne suis pas du genre à se battre Guess I’m not the fighting kindOù vais-je rencontrer mon destin? Where will I meet my fate?
Bébé, je suis un homme et je suis né pour détester Baby, I’m a man and I was born to hate
Et quand vais-je rencontrer ma fin? And when will I meet my end?
Dans un meilleur temps tu pourrais être mon ami In a better time you could be my friendJe me réveille, c’est un mauvais rêve I wake up, it’s a bad dream
Personne de mon côté, je me battais No one on my side, I was fighting
Mais je me sens juste trop fatigué pour me battre But I just feel too tired to be fighting
Je suppose que je ne suis pas du genre à se battre Guess I’m not the fighting kind
Ça ne me dérangerait pas si tu étais à mes côtés Wouldn’t mind it if you were by my side
Mais tu es parti depuis longtemps, ouais, tu es parti depuis longtemps maintenant, ouais But you’re long gone, yeah, you’re long gone now, yeahOù allons-nous? Where do we go?
Je ne sais même pas I don’t even know
Mon vieux visage étrange My strange old face
Et je pense à ces jours And I’m thinking about those days
Et je pense à ces jours And I’m thinking about those daysJe me réveille, c’est un mauvais rêve I wake up, it’s a bad dream
Personne de mon côté, je me battais No one on my side, I was fighting
Mais je me sens juste trop fatigué pour me battre But I just feel too tired to be fighting
Je suppose que je ne suis pas du genre à se battre Guess I’m not the fighting kind
Ça ne me dérangerait pas si tu étais à mes côtés Wouldn’t mind it if you were by my side
Mais tu es parti depuis longtemps, ouais, tu es parti depuis longtemps maintenant, ouais But you’re long gone, yeah, you’re long gone now, yeah
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