La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Que de de raisons de pleurer cette merveille prémonitoire me donne
A Marguerite te voilà jointe à Jeanne
Quand j’y suis allé la première fois dans les années 50, Vienne était encore occupée par les Alliés, la grande-roue au Prater me tourna en zone russe alors interdite
Oui cette chanson est un des signes les plus anciens qui explique…
Aller à Vienne, plus possible. De Shanghai à Bangkok sur une coque de noix, encore moins. À Nantes oui, peut-être — et encore. Il y faut une raison impérieuse.
Quelque chose s’est abattu sur nous. C’est tout.
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Barbara (1930-1997) • Vienne. Barbara, paroles ; Barbara & Roland Romanelli, musique. Barbara, chant, piano. Extrait de l’émission de télévision Le grand échiquier. Jacques Chancel, producteur ; André Flédérick, réalisateur. Première diffusion : mercredi 9 mai 1973. Production : France, ORTF (Office de radiodiffusion-télévision française), 1973.
Au cheval broutant la prochaine lame atlantique, le fond de l’arbre déglutit la parure d’une coupe de saison
Prévert est en guérite, assurant la garde, on se passera d’un Rembrandt pour la Ronde de Nuit
L’accordéon ça minaude pas, c’est franco de pores, jupe fendue plus que le nécessaire attendu d’une posture yoga
Juliette tu vas perdre ta crinière, restera l’os, une putain de moelle de dents
Quand pris de quinte j’irai à la Rhumerie ce sera pour répondre à l’appel et venir tremper Quai Malaquais, la fanfare, le Boris et Sartre en succession de Michèle, Castor l’aqueux bien trempé, sans doute à l’Ecluse, Barbara dans la grande équinoxe d’automne
Rue Bonaparte, mon art colle, la mue Mars et y’aise !
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