La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Surgi de l’arbre qui masquait une forêt apparue dans tout l’amer d’un fiel comme seul peut en connaître la haine, un traquenard se fait jour. L’oiseau ébranlé gratte son poitrail pour se laver de la cabale que la détresse d’une maladie létale génére et fomente sans qu’un remède possible n’ait réussi à sortir en corps du calendrier chômé
Mais savoir ce que la peur peut induire d’érreur, ne fait qu’un effet placebo dans la bataille
Il faut retourner le ragot vers sa mesquinerie sans qu’un roman lu, puis colporter à contresens puisse en inverser le fond
à sa couleur qu’on peut pas voir de multiples iris en maraude
prétendent fleurir même en hiver
sans craindre de jurer qu’en l’état de disparition climatique chez eux c’est constamment le printemps
me font penser à la mortelle solitude de Vincent qui les transposait en une présence en 3 D
sous les barreaux de la cellule qui retenait ses cris à St-Rémy
vastes panoramas tenus en bocaux sur les étagères de la Faculté de garder les monstres
L’avaloir d’un beau ah ingère la matière grise en développement des enfants qui n’ont de rapports humains qu’au téléphone. Le reptile arrivé à la mère mute en pieuvre, se la tape puis tentacule le père. Les zoos recouvrent la terre. On recule encore plus loin dans le tant et licencie les paléontologues pour payer le coût de l’aide sociale. Le Musée de l’Homme est cédé pour 1euro symbolique aux descendants de Mme Claude. Les éleveurs de fève couronnent le Prince Harry pour la petite histoire de l’évolution.
Comment tout ceci aurait-t-il put se faire si on avait pas muter en monstruosité ?
J’ai jamais pu être attiré par Harry Potter et encore moins par ces films de fiction conduisant à l’horreur réelle, mais le statut minoritaire qui m’échoue est incontestable au point que si je me taisais je me sentirais hermaphrodite
A force de cloner pour fabriquer des monstres on inocule un doute identitaire qui demanderait sa reconnaissance pour libérer l’être qui en souffre
Ce n’est pas la souffrance en question dont je doute, c’est sa cause
La cause qu’on ignore toujours en toutes choses, la fuite étant toujours plus simple
Alors l’hérésie prend le chemin d’une raison fabriquée de toute pièce
On avance grand v dans le mur en dévoyant par principe l’origine du problème
Il y a vingt ans l’homosexualité est devenue le remède aux problème de couple et a entraîné un changement radical entre hommes et femmes sans rien pouvoir modifier au système reproductif dont la suite ne peut être arrêtée. Maintenant le féminisme repart dans sa requête égalitaire qui ne peut rien changer d’autre sinon faire d’un macho une macho (en attendant un mot féminisé)
Le procès d’abus fait à l’homme actuellement m’apparait davantage comme un moyen pour obtenir autre chose, qu’une lutte totalement justifiée pour punir une violence que je réprouve sans réserve (Le procès Camus fait en Nouvelle Aquitaine est juste)
En revanche
Ce dahu du pronom s’il prêtait à rire personnellement ne dérangerait pas ma reconnaissance du libre choix que j’accorde à chacun. Mais il s’agit d’une modification génétique généralisée qui dérive dangereusement
J’aime l’image qu’inspire ce tableau où devant la beauté mammaire l’homme tète un animal fantasmagorique non par choix mais par manipulation évolutive
Je m’insurge contre une tendance qui se développe parce qu’aujourd’hui l’individu s’en remet à la machine et non plus à son intelligence
J’aime trop la Femme pour perdre toute considération à son égard
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