
D’UNE COULEUR DE LA MEMOIRE 1
Assis sur la margelle à la recherche du soleil que le fond du puits refléterait entre le passage
des nuages, j’appuies mes jambes dan le vide
au guet d’un cri des oies sauvages
et du troupeau paisible paissant sous les pommiers
ah la vache où est donc le train
Planter un arbre avant la Ste-Catherine
et ne pas perdre la main
des choses qui faisaient la vie quand les lèvres se cherchaient de bas en haut sans un mot
qu’il pouvait pleuvoir dans l’arc-en-ciel pour mettre un arc dans la couleur
Et toi
à quoi tu penses de tes serrements depuis qu’on a mis l’amer au milieu des taires ?
Niala-Loisobleu – 11 Octobre 2022
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