AU-DELA DE LA PEUR
Le soleil dur sur le sol éclaire d’un bout à l’autre de la gamme
Pas un nuage
La voûte uniforme montre un bleu d’une nudité totale
Des hommes aux importunités gazeuses ont retenu leur bêtise ailleurs
Le bruissement des haubans est en cordes piano accordé
Seul ton souffle suit le balancement de tes seins à gorge déployée comme les voiles de mon bateau qui les porte à jouer
Au carré
DD avec crinière noble sans perruque ni jambe de bois m’entretenait hors du bandeau qui pirate l’espace de vie
propos métaphysiques propres à contrecarrer la peur de la mort
démonstration non-scientiste de vie éclatante
Toi toute petite
dans les années de ton enfance
tu me tenais la main comme de rien en toute confiance
Voilà de ces instants d’un métro qui passe d’outre-tombe à clarté naturelle
sans que les grimaces des épouvantails de prétendues croyances troublent la clarté de l’eau et chlore le débat…
Niala-Loisobleu – 04/01/19
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