
A PARTIR DE QUOI PEINDRE CE QUE NOUS CRIE
La lueur des bougies dans laquelle la guitare frémit
danse
tirant son eau-vive des pierres dressées
dans l’éclair de truite la main jusqu’au poignet
un tronc tombé de l’humeur du temps
ne résiste pas à l’union des rives romanesques où l’amour-castor frappe pour bâtir
A partir de quoi je peins ce que moi suis tout entier de Nous, rire jusqu’au cri du refus de confondre, tarte aux pommes et roulements de tambour de charge fruitière du cerisier
Marc sur le côté à regarder dans le rêve accompagné.
Niala-Loisobleu – 11 Novembre 2020

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