L’EPOQUE LOUVE DESHABILLEE D’HIVER
De la terre mangée d’abstinence sort une écharpe d’amélanchier rentré d’amer hic pour étoiler ton buste
que le loup déneige jusqu’à terre sans tailler à hauteur du cri
Avril s’approche de la rambarde et se penche à la coupée prêt à tirer la sirène au grand dam des hivernages
Vois-tu comme la cheminée fume ? J’ai chargé la vapeur au sauna de 2019, fouaillé par la lumière tombée sur les propos demeurés obscurs. Mon problème de vue excuse rien
Les phoques pourront se chercher un banc dans un jardin public, le sable est en passe
Du haut du frisson à la cuisse le chemin se fait lé pour hâler à la Foire au Peint d’Epices, on cassera le cochon pour tirer la lyre, j’ai le tempérament musical aède
L’idée de te découvrir fait trembler le marché flottant au point de garder les bonzes à l’abri des tentations
Ton brûle-encens m’en voit ravi , le jasmin en grimpe à la place des quêtes de bols de riz
Et dans tout ça le 7 a lâché ses ballons à la mode Ô ffenbach, au point que j’en ai relevé sa sensualité, ce qui a soulevé ton étonnement comme si ma peinture ne sentait pas toujours le chien quelque part.
Niala-Loisobleu – 12 Mars 2021
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