
JE ME SURPRENDS ENCORE À RÊVER
Je me surprends encore à rêver
Je me surprends encore à rêver
Comme si l’esprit la volonté
Passaient leur temps à oublier
Comme une Noyade intemporelle de coups qui pleuvent drus
On dirait un espace d’oubli il me semble vaguement
Comme un lieu d’exil où l’âme recharge d’espérance les routes divaguées
Mon esprit, lui, vagabonde
Eperdu et libre
Il n’attend qu’absolu
Et pense… ou ne pense plus…
Il se laisse aller au fil des temps qui accourent
Chiens de guerre, tambours battant petits soldats de plomb
Je ne vous laisserai pas faire d’une individualité un membre lacéré de vos cohortes haineuses
Chiens de guerre, tambours battant petits soldats de plomb
Vous y laisserez plumes et eaux… La bête immonde est en corps féconde
Redoutables sont ses réveils
Attentives sont mes Nuits
De garde, de veille où le cœur humain veille et se garde
Yves Wauthier
Elle est très jolie cette peinture !
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L’émoi qui montre la couleur de l’envie en s’ouvrant…
Merci Dominique.
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Tu devrais, si j’osais te le conseiller (mais je n’ose pas), mettre une de ces belles peintures à chacun de tes poèmes ! Comme pour la bannière ! (mais je le répète : je n’ose pas, tu es assez grand pour le deviner !) 😉
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La grandeur est se qui se montre le moins en bannière quand elle cherche pas à faire croire.
Tellement je vois l’abus fait de moi que ça me recule toujours plus.
Merci.
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