DU JOUR QUE JE METS DANS LE SAL’HASARD POUR CONNAÎTRE


DU JOUR QUE JE METS DANS LE SAL’HASARD POUR CONNAÎTRE

Fa d’Ô rêve au luminaire

les mots de caresses qui se dévêtent dans l’encrier, un oiseau noir qui fausse la signature d’un Van Gogh, c’est pas le bleuet des blés qui copule avec le coquelicot

sentir le battement de pieds du lapin en tenant le nez du chien au dessus du terrier

sans aller tirer la chasse

c’est ça ma folie mon truc à dire avec ma plume à poils

Quand je s’rais mort veut pas savoir oublier d’être aller chercher

le silence de la connaissance est l’allumeuse du savoir qui passe à laisser croire sans te faire bander de l’apprendre

Jour de merde à déborder

le soleil monte à chevalet

l’atelier-plumard de mes maternités qui me ramène sans cesse à Port-Royal sans la fumée des moyens de m’envoyer en l’air

Du sel et du peint près du soufre de mon test amant.

Niala-Loisobleu – 13 Mars 2021

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