
AU BORD DES CHAMPS
Soleil en encorbellement
seins au surplomb du ventre pâturage les pans-en-demeures retiennent les tiges-de-botte de la terre-ocre cuite en jarres et amphores dans le grenier des mers et ô séants
La Pomme d’Amour a gagné le toit-fruitier de la canopée par sucions répétées des racines de l’Arbre de Vie
Sur la voie la pierre construite reproduit la mosaïque à travers l’enfilade des colonnes rituéliques, comblant les repaires reptiles de culbutes d’enfants lançant leurs bateaux de papier à la mémoire de la Source
Les cracheurs dans la soupe sont appelés à se nourrir de leurs propres rejets revêtus de leur orgueil en emblème sans accès possible aux carrés d’artichauts et aux chaires magistrales, leur index dans le fondement
Son compotier pépiant de toutes ses plumes aux bord des champs.
Niala-Loisobleu – 2 Mars 2021
C’est une bien jolie peinture qui illustre ton texte !
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Sans maquillage la sale gueule de mon monde tient son joli au cordon du ris d’ô….
Merci Dominique, bon jour .
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Le toit-fruitier pour si-tadel… Je t’embrasse traits forts Alain. Delphine
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Rosée que le tendre a larme
Merci Delphine
Je t’embrasse au goût du peint de ce mercredi sain…
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