LES APPARITIONS DÉDAIGNÉES
Les civilisations sont des graisses.
L’Histoire échoue,
Dieu faute de
Dieu n’enjambe plus nos murs soupçonneux, l’homme feule à l’oreille de l’homme, le
Temps se fourvoie, la fission est en cours.
Quoi encore ?
La science ne peut fournir à l’homme dévasté qu’un phare aveugle, une arme de détresse, des outils sans légende.
Au plus dément : le sifflet de manœuvres.
Ceux qui ont installé l’éternel compensateur, comme finalité triomphale du temporel, n’étaient que des geôliers de passage.
Ils n’avaient pas surpris la nature tragique, intervallaire, saccageuse, comme en suspens, des humains.
Lumière pourrissante, l’obscurité ne serait pas la pire condition.
Il n’y avait qu’une demi-liberté.
Tel était l’octroi extrême.
Demi-liberté pour l’homme en mouvement.
Demi-liberté pour l’insecte qui dort et attend dans la chrysalide.
Fantôme, tout juste souvenir, la liberté dans l’émeute.
La liberté était au sommet d’une masse d’obéissances dissimulées et de conventions acceptées sous les traits d’un leurre irréprochable.
La liberté se trouve dans le cœur de celui qui n’a cessé de la vouloir, de la rêver, l’a obtenue contre le crime.
René Char
Je ne cesse, je ne cesse, c’est mon crée do, ré, mi, la, sol…
N-L 31/01/18

Remonter au sel de la larme, embrassés d’un seul œil en se gardant SOi…
Emboîtés tenon et petite-mort aise
barbe à ras….merci
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Le dédain, bof, plus de fierté mal placée qu’une preuve d’attention…
Merci Boris
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Ce soir qui meurt, couve son matin dans le tombé-caché des étoiles…en pleine-lune éteinte on ne voit rien monter au rempart…la peinture est encore humide Barbara…
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Ce soir mes meuh revêtent l’hue buesque de la fatigue à les tables…
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D’une main cheveux démêler cha..,d’un ruban…
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Il faisait un lent mouvement ce jour. Les terres molles semblaient affamées. Genre sans sue, comme dans le frais. Sans dire l’effroi d’un devant d’anormalité. Ce dilemme jus des ô crétins qui traîne toujours…
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Il faut plonger à côté de la mer, le temps bouffe l’atmosphère à n’y plus voir le clair. Ce brouillard finit par sortir des hommes comme si leur perte d’humanité montait pour leur boucher le né, ma Céleste. Ras-le-bol que le froid revienne pour geler de saison ce qui doit refleurir quoi qu’il soit !
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Je fais un essai pour voir si ça remarche.
🦋
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Bon ben chouette, ça remarche !🦋🦋🦋
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Pour séjourner ce fût un bon choix que de t’arrêter sur cette page. Merci
Christophe Guitton
La réciproque est chose faite. Quelle page que celle de « chronos et le facteur » un Bourvil dans le texte. Et quelle référence, Barbara était présente…
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