IL RESTE TOUJOURS PLUS DU TANT
QUE DU RIEN QUI PASSE…
De la main qui tient le fruit des vergers poussent
sans qu’aucune sorte de nitrate ne les émascule
au nu d’Elle
chante un humanisme en perte
à la saignée du burin que tient l’autre et qui frappe en dressant l’ineffaçable de l’obélisque
le soleil qui colle à son prénom tient au Nil qui la porte au large
j’en sais la profondeur
Il n’est d’aube que roue en cerceau guidé par l’enfant qui pousse ses ans hors du fossé
le doigt naif au bâton d’un refus de prostituer cette vérité qu’est le Beau
et là
à la renverse de son regard j’en pénètre les pigments pour prolonger la ligne de vie.
chante Barbara, chante !
Niala-Loisobleu – 13 Août 2021
Tyrannie de la beauté
qui se déroule toujours ailleurs
quand on la couve de si près
perle dans l’herbe parée d’or
pour le festin des vents
émigrant transparente vers le coeur
Toi qui as vu ses yeux en larmes
sous le fronton d’une nuit tremblante
derrière une fenêtre que l’on avait forcée
parle-moi d’elle maintenant
Confirme-moi une fois encore
que c’est bien moi qu’elle venait chercher
quand elle caressait absente sa blessure aveugle
Barbara Auzou.
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Nul doute à avoir
La fenêtre est bien selle sur qui le cheval trace le sillon
Tyrannie déboutée au verdict…
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