IL RESTE TOUJOURS PLUS DU TANT QUE DU RIEN QUI PASSE…


IL RESTE TOUJOURS PLUS DU TANT

QUE DU RIEN QUI PASSE…

De la main qui tient le fruit des vergers poussent

sans qu’aucune sorte de nitrate ne les émascule

au nu d’Elle

chante un humanisme en perte

à la saignée du burin que tient l’autre et qui frappe en dressant l’ineffaçable de l’obélisque

le soleil qui colle à son prénom tient au Nil qui la porte au large

j’en sais la profondeur

Il n’est d’aube que roue en cerceau guidé par l’enfant qui pousse ses ans hors du fossé

le doigt naif au bâton d’un refus de prostituer cette vérité qu’est le Beau

et là

à la renverse de son regard j’en pénètre les pigments pour prolonger la ligne de vie.

chante Barbara, chante !

Niala-Loisobleu – 13 Août 2021

PARTANCE


PARTANCE

D’une évanescence que l’araignée dévore monte un bleu voulu que rien n’avait voulu tromper par mélange. Préférant retenir pour éviter de confondre. Ce monde qui se hâte en tout est responsable d’une décadence qui idolâtre le footballeur richissime et ignore le chercheur.

L’ÉPOQUE ça vous dit quelque chose ?

C’est pour deux artistes plus qu’une résurrection

La reconnaissance

Barbarasoleil-Niala

L’accès à la sphère de la poésie. D’une plume et d’un pinceau

Ce tableau symbolise la force d’un absolu qui s’acte en essentiel sans arrêter le processus terminal d’un monde qui jamais ne reconnaîtra sa responsabilité.

Niala-Loisobleu – 13 Août 2021