LUTTEURS
Dans le ciel des hommes, le pain des étoiles me sembla ténébreux et durci, mais dans leurs mains étroites je lus la joute de ces étoiles en invitant d’autres :
émigrantes du pont encore rêveuses; j’en recueillis la sueur dorée, et par moi la terre cessa de mourir.

Sentant trembler la glace à l’idée qu’il lui serait en corps demandé: « Dis-moi que je suis belle », je ne cherchais plus à devancer le craquement qui allait la dépolir. Les hommes ont peur et passent leur temps à se détruire. Je laissais le ring aux combats truqués
et descendis des cordes qui tiennent prisonniers de mensonges.
Au dehors des paroles non tenues, je n’eus pas à chercher celle que j’avais donnée. Elle m’attendait sereine de son vouloir continuer.
Niala- Loisobleu – 18 Janvier 2017
Les faux-combats tuent sans égard, la peur en demeure le seul survivant…
Merci carnetsdedestinees .
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Au travers de la nappe noire, le peu d’air qui passe tient le courage accroché à la rame.
Merci Boris.
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Nous devons croire en nous, c’est l’unique moyen de trouver nos autres.
Merci Michèle.
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Je ne sais rien de toi, mais je sens assez pour savoir comme tu saisis l’essence de cet article par ton expérience personnelle Stéphanie.
Un vrai merci !
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