
LA BOUTURE
Incendies , inondations, débordements climatiques de la terre qui craque. Le glacier va remonter l’océan pour rayer les paillotes construites parmi les infractions de l’homme
Dans le balancement du hamac de mes souvenirs passe un petit-navire qui avait des jambes, chantait ma mer pour m’endormir et me laisser pénétrer mon rêve
C’était quand ce conte à rebours ?
Tout près d’ici, l’énergie déployée pour détruire la nature à les moyens de faire parler le mal
Egon d’un trait affûté, a joint ton corps au mien pour l’à venir
Cette image que mon idée garde pourrait passer pour un entêtement argentique maintenant qu’avec le numérique, l’artificiel se croît intelligent. Tant pis, je reste au sentiment qu’un gros sein naturel nourrit mieux la vie qu’un greffon synthétique
La peau de soie contre l’autre qui rit dans l’herbe haute de l’estuaire, c’est le France qui traverse en chantant du Havre à l’autre côté de l’Atlantique jusqu’aux aisselles fournies d’un rêve américain
Plus que mettre tout en ordre pour finir de rendre l’Atelier opérationnel dans sa version 2021…on voit déjà la grande bleue remontée en Seine, de mon Paname aux rivages des ÎLES ETAIENT UNE FOI
Avec la nudité plaine de femme en figure de proue.
Niala-Loisobleu – 11 Août 2021
C’est beau…
beau de tout ce que je te souhaite…
je t’embrasse pour un bon jour…
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Au petit-gris des escargots chemine du soleil sur la salade épanouie du laid tué
J’en bave au jardin retrouvé
La langue à nu en patins à roule être
Aux bons jours !
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poilés
avec un peu d’aie
ça devrait s’arranger….
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Que l’oignon se plaigne pas
Chacun son tour
Je prends la pause de l’indien
qui piste debout en bout…
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Piste..piste Mon..
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