J’entends voler les cloches sans le moindre son de résonance et cherche au creux du poumon marqué d’œuf d’aime ce souffle musical qui confirme toute présence effective par de la buée sur mes lunettes
Ah te trouver folâtre et gracieuse dans ce cimetière qu’un Valéry ne pourrait rosir de bleu marin tant le désaveu d’existence raye tout quidam de la liste
Ah la vague la voici totalement devenue scélérate
Tout disparaît
Le monde se pisse dessus
En ouvrant grand la gueule
Ce sinistre fade, inodore, sans le plus petit réflexe agglutine l’an t’art tic à faire fondre la chaleur amoureuse, foule frigide que la couleur fait fuir
Non de d’yeux que c’est laid
Plus de lumières et un roi sans vers ailles qui Bréganconne à faire croire à d’autres politicards que l’occase est propice et que sortir leur peau tombe à pic
Sur mon bateau de papier je te dessine au cap de bonne espérance non pour suivre la bande mais pour garder la mienne en flottaison
Vivons sans dériver, dos fin et hanches amphores aux seins , ce corail dans ton anémone vivant comme au naturel.
Niala-Loisobleu – 4Août 2021

Oui la grotte primaire est la seule réponse, Mon….
Auprès d’elle, tout est nouveau.
Elle est ma fragile anémone; ma
Graziella, mon nid d’oiseau, mon violon de
Crémone.
Elle est mon
Ingres, mon
Manet, mon opale, ma cantilène.
Elle est le livre de chevet qui s’ouvre à la page que j’aime.
Elle est mon lac de
Constance, elle est mon île de
Capri.
Victime des circonstances, je ne sais ce qui m’a pris…
Paul Neuhuys
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Derrière l’horizon ma main te tient
nouée des ongles du regard à la faim du piqué dans l’odeur
je sais ce qui me prend
cette en vie, Ma…
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