
CES MATINS QUI DEFIENT LE GRIS
A cette nuit qui s’accroche aux volets
faux-désespoir commun à l’errance quelque part en porte-drapeau
je lave l’ombre du chemin
seul peut-être mais certain de ne pas grossir la dérive de brailleurs de maux
Abandonner le tant comme l’animal qu’on jette pour se libérer du temps libre
hérésie noire qui se secoue en rave par bravade
Faire blanchir le galet du levé des vagues sans se cacher de son devoir civique au sein d’un tintamarre sourd à la raison
je pars joyeux sur l’axe du rayon
le cortège suivra son corps billard à la queue leu-leu
Vaut mieux parler avec une seule paire d’yeux que voir glisser des aveugles sur le raille
Bonjour Ma, piquons une tête…
Niala-Loisobleu – 3 Août 2021
Piquons une tête oui!
Bonjour Mon
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A la race in Ma !
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