Les Rêves Sont En Nous
Tous les rêves, tous ces rêves faut pas les oublier
Tout ce qui nous apporte un peu de redoux
Tout ce qui nous importe s’éloigne de nous
Tous les rêves, tous ces rêves, tous ces baisers volés
Tous ces rêves envolés qu’on a abandonné
Et qui nous donnaient l’envie d’aller jusqu’au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l’on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l’on croyait perdus
Il suffit d’une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, au plus profond de nous…
Aimons les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Tous ces rêves, nous élèvent, nous font aimer la vie
Tous ces rêves, ça soulève et ça donne l’envie
L’envie d’un monde meilleur, c’est beau mais facile
De pas commettre trop d’erreurs, c’est bien plus difficile
Car les rêves, car les rêves parfois viennent s’échouer
Et s’achèvent, et s’achèvent devant l’écran d’une télé
Dans un monde qui nous agresse, qui peut vous mettre en pièce
Solitaire dans un trois pièce, tout ce qu’il nous reste…
C’est d’aimer les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Laissons-les, laissons-les, laissons-les filer
Tous les rêves, tous les rêves que l’on a poursuivi
Tous les rêves, tous ces rêves pour un bel aujourd’hui
Et qui nous donnaient l’envie d’aller jusqu’au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l’on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l’on croyait perdus
Il suffit d’une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, les rêves sont en nous.
Les rêves sont en nous…

Tout ceux qui me chausseront ont encore plein d’ampoules de lumière carnets paresseux !
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« Sans une claire courageuse et pauvre étoile au nom miraculeux
Le bois qui tremble s’entrouvre sur le ciel peint à l’intérieur des forêts de santé
Par cette oraison de bluet caractéristique et ces yeux à biseaux
Qui domptent les vagues travers zigzaguant par le monde
Ô les charmantes passes les beaux masques d’innocence et de fureur
J’ai pris l’enfer par la manche de ses multiples soleils détournés des enfants par les plumes
Je me suis sauvé
Tant que les métiers morts demandaient ma route
Où va ce manœuvre bleu
Mais sur les mers on ne s’élance pas si tard
Demain caresse mon pas de son sable éclatant
Voilez les montagnes de ce crêpe jaune étrange que vous avez si bien su découper suivant le patron des graminées des cimes
Je suis le perruquier des serrures sous-marines le souffle des amantes »
André Breton (Le Volubilis et je sais l’hypoténuse)
Un Clair de Terre pour allumer la voie barrée Michèle !
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Monter les crans pour que Narcisse se noie la mire, autres images panoramiques, brisant la chaîne, l’horizon se lève à la verticale…
Merci Emilie.
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Nos rêves s’intercalent
bloquant nos dérives…
Merci Isoptech
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On est capable de rêver ou non, rien en cette matière ne s’achète.
Merci Jamel.
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On ne rêve que de ce qu’on veut sortir de soi, Célestine.
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Ils sont telle la sève qui tien l’arbre en vie THE OWL – JACOB CRIMINOLOGY.
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Cette citation d’Oscar Wilde me met en marche chaque jour…
« La sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit » 💙
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Moi je les porte toujours autour du coup…
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