Je me souviens d’une maison toute blanche au bord de la mer. Des genêts bougeaient derrière les brandes et le corps des jeunes filles mourrait de soleil. Mon enfance fut douce et violente comme la musique des vagues, un vol invisible de mouette. Le sel des larmes venait toujours de l’Atlantique. J’embrassais l’ennui sur les […]
via Bruno Ruiz / Seul et innombrable — Bruno Ruiz dans le désordre
La peau offerte aux aiguilles de la pinède pour un patchwork de gemmeur à remplir de sel…
N-L
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La poésie ne marchande pas sa rue, elle l’offre au promeneur…
Merci Michèle.
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Il n’y a pas de hasard, Bruno ça rime avec Beau !
Merci Madame lit.
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Tu vois kreakhaos, dans ce titre, il y a tout ce qu’est l’Amour…
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Un petit vent de nostalgie s’est levé et emporte ma mémoire sur d’anciennes plages…
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L’ô céans dit chaque plage de vie microsillonne nos côtes, en veillant à pas se faire éroder par l’amer Natascha.
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A part le vent, il n’y a que l’imagination qui se marie avec lui pour muser…
Merci patchcath.
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» J’appelais l’univers pour qu’il vienne me délivrer de la torpeur des adultes »… Merci Nialla pour cet extrait merveilleux…
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Ces mots-là sont de partage, pour plusieurs étapes. Le plaisir à les lire ouvre table d’hôte. Comme on trinque autrement que du coup de pied d’un âne…
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S’aimer des petits-cailloux aide à retrouver de la chaleur le jour où elle se perd….
Merci adviceofbeauty.
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Je me sens qu’à l’écouter moi Bruno…
Merci Isoptech.
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