
DERRIERE LA GLACE
Sur le blanc en traîne l’oiseau trouve l’aumônière sous la branche
sans voir la mer on entend le chien courir la sortir des appels de la cloche de brume
Le cheval crinière dans ses traces porte la torche au phare dans le mouvement qui balaie
Tout arrive
le propos du seoir qui tombe est en phase à la gratte des guitares
Ce que les mains tiennent parle avec le mystique des gestes écrits par la plume poétique
qui remet le son à la voix masquée par le détour écolier
Des yeux qu’un bandeau manipulateur retient à distance se dirige la vue des maisons épaulées à l’amour
Ils se voient en braille et se lisent dans ce monde aveugle doigts posés sur leur clavier ouvert, les embruns assurant le transport
Niala-Loisobleu – 16 Janvier 2022.



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