La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Quand les chevaux du temps s’arrêtent devant ma porte, je bal d’avoine, saut de pis coquins et gars l’ô mord des des dents, un trait bleu à l’oeil, la jambe face au tant. Sous mes paupières j’ai le bord de route ouvert aux flancs. Le déroulé d’un sein qui se fout du calendrier, courbe d’harmonie qu’il est.En contre-jour un nu fait femme, c’est parade !
Merci Barbara.
Quel beau compliment tu me fais là Barbara, il me touche vraiment. Merci je t’embrasse comme un chemin qui se faufile en contrebandier sur celui des douaniers…
La montagne monte au plat pays.Mais enfin c’est que désordre, cette altitude me dérange comme une sécrétion calcaire qui ramène à un filet le débit de l’eau. Autre parasitage ? C’est bloquant de devoir se plier au désintérêt porté à ce qui se tient sur le fond, par la jeunesse actuelle. Toutes ces années de travail pour arriver à ce résultat, ça désarçonne. J’ai les pieds à plus tenir le raisonnement.. Suis-je dans la bonne direction ? Probablement pas sûr. L’effet soleil monte à la tête de ce qui n’en a pas. Aujourd’hui donne aux jardins une perspective que je veux porteuse. C’est à quelle heure le prochain train pour la vallée. La menthe sauvage…quelle envie d’en infuser, il me faudrait cette sensation sur la langue pour redonner du piquant à l’écume…la montagne ça bouche le large comme croquer du sable.
C’est parce qu’il est propulsé par mille chevaux d’écume qu’il arrive à bon port…
Parce qu’il chemine ô il faudra donner l’avoine à ses défenseurs. La grève ils l’entretiennent pour des voyages enchanteurs, en chantant.
Les chevaux d’écume pulsent un tant à venir. Un regard perce. Mieux que que l’attente imposée.
Scanne tiens qu’à nous de pas attendre le bon vouloir du docteur. La voie c’est clair rocaille moins. Les stations du chemin de croire auront des bancs…
Au lave pont se faire la Vallée…
À vent que le zèle du Moulin passe à moudre à la meule
Un jardin plein d’agréments pour entrer dans le rêve d’une nuit lumineuse…
merci
Sisyphus47
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Quand les chevaux du temps s’arrêtent devant ma porte, je bal d’avoine, saut de pis coquins et gars l’ô mord des des dents, un trait bleu à l’oeil, la jambe face au tant. Sous mes paupières j’ai le bord de route ouvert aux flancs. Le déroulé d’un sein qui se fout du calendrier, courbe d’harmonie qu’il est.En contre-jour un nu fait femme, c’est parade !
Merci Barbara.
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Merci Anne.
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eh bien comme il y a de belles choses devant ta porte. A toi on peut dire de balayer devant…
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Quel beau compliment tu me fais là Barbara, il me touche vraiment. Merci je t’embrasse comme un chemin qui se faufile en contrebandier sur celui des douaniers…
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Je t’embrasse aussi…
je ne fais contrebande que de menthes sauvages…
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La montagne monte au plat pays.Mais enfin c’est que désordre, cette altitude me dérange comme une sécrétion calcaire qui ramène à un filet le débit de l’eau. Autre parasitage ? C’est bloquant de devoir se plier au désintérêt porté à ce qui se tient sur le fond, par la jeunesse actuelle. Toutes ces années de travail pour arriver à ce résultat, ça désarçonne. J’ai les pieds à plus tenir le raisonnement.. Suis-je dans la bonne direction ? Probablement pas sûr. L’effet soleil monte à la tête de ce qui n’en a pas. Aujourd’hui donne aux jardins une perspective que je veux porteuse. C’est à quelle heure le prochain train pour la vallée. La menthe sauvage…quelle envie d’en infuser, il me faudrait cette sensation sur la langue pour redonner du piquant à l’écume…la montagne ça bouche le large comme croquer du sable.
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Il y a des trains qui roulent et qui cheminent ô.
La gare n’est pas loin.
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Le chemin de faire, ni en voie de réforme et ni grève, malgré la proximité de la mer…
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C’est parce qu’il est propulsé par mille chevaux d’écume qu’il arrive à bon port…
Parce qu’il chemine ô il faudra donner l’avoine à ses défenseurs. La grève ils l’entretiennent pour des voyages enchanteurs, en chantant.
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Les chevaux d’écume pulsent un tant à venir. Un regard perce. Mieux que que l’attente imposée.
Scanne tiens qu’à nous de pas attendre le bon vouloir du docteur. La voie c’est clair rocaille moins. Les stations du chemin de croire auront des bancs…
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Des bancs de mousse et de matte l’eau…
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Au lave pont se faire la Vallée…
À vent que le zèle du Moulin passe à moudre à la meule
Un jardin plein d’agréments pour entrer dans le rêve d’une nuit lumineuse…
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A la station fais ton plein d’essence-ciel…
Merci Audrey.
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La force de vouloir sans y béatement croire..c’est ça l’espoir…
Je t’embrasse pour une bonne journée, merci Eva.
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La bride sur le coup…
Merci Gilles…
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Merci tracesdusouffle.
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A l’herbe qui bat je pousse et fourmille hors d’ombre…
Merci Océan sans rivage.
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