18 réflexions sur “Les chevaux du temps – Jules Supervielle

  1. Quand les chevaux du temps s’arrêtent devant ma porte, je bal d’avoine, saut de pis coquins et gars l’ô mord des des dents, un trait bleu à l’oeil, la jambe face au tant. Sous mes paupières j’ai le bord de route ouvert aux flancs. Le déroulé d’un sein qui se fout du calendrier, courbe d’harmonie qu’il est.En contre-jour un nu fait femme, c’est parade !
    Merci Barbara.

    Aimé par 1 personne

        • La montagne monte au plat pays.Mais enfin c’est que désordre, cette altitude me dérange comme une sécrétion calcaire qui ramène à un filet le débit de l’eau. Autre parasitage ? C’est bloquant de devoir se plier au désintérêt porté à ce qui se tient sur le fond, par la jeunesse actuelle. Toutes ces années de travail pour arriver à ce résultat, ça désarçonne. J’ai les pieds à plus tenir le raisonnement.. Suis-je dans la bonne direction ? Probablement pas sûr. L’effet soleil monte à la tête de ce qui n’en a pas. Aujourd’hui donne aux jardins une perspective que je veux porteuse. C’est à quelle heure le prochain train pour la vallée. La menthe sauvage…quelle envie d’en infuser, il me faudrait cette sensation sur la langue pour redonner du piquant à l’écume…la montagne ça bouche le large comme croquer du sable.

          Aimé par 1 personne

Les commentaires sont fermés.