LE TEMPS MORD
Un mouvement est là, dans l’immobile incongru, est-ce la pensée plus forte que les rues qui ont été fermées qui fêle ?
A n’en pas douter, dans l’angle le papier-peint baille, la forme transparaît par l’ouverture du temps. Les quais des trains ratés en quittant leurs vêtements un à un dévoilent la beauté des lieux. On ne part de soi trop tard qu’en restant sous son chapeau.
L’âne qui tourne la noria pense-t-il aux déserts sur lesquels les sots se répandent, prêtons-lui le bénéfice du doute de l’innocence, l’âne est pas domestique au point de tomber si bas, il a le sien à porter et cela lui suffit.
Il était pas en corps l’heur des seins qui devance le coq qu’à mon oreille j’entendais ton pouls battre. Pour preuve ce bleu qui macule encore mes doigts. La couleur dit clairement d’où l’on sort et où on a l’intention d’aller. Ce petit-linge accroché au dossier de la chaise même avec ce cheveu qu’il a gardé sur la langue, peut dire l’enchantement du coeur de la forêt sans zozoter. Un solide conteur aux veillées que celui-la. Ficelle, vous avez-dit ficelle, ah non, je parlais de soie pas d’un autre.
Illustration: Peinture d’Otto Dix
Niala-Loisobleu – 30/03/18

…et il a une sacré mâchoire…
J’aimeAimé par 1 personne
Un vrai piège à ours…ah la vache…
Merci Barbara.
J’aimeAimé par 1 personne
Une sacréE avec un E d’ailleurs…au moins 100 dents…
J’aimeAimé par 1 personne
Pour une fois cé pas moué…
J’aimeAimé par 1 personne
J’ai vu un début de papillon accroché au manche de mon porte-plume, Chrys à lied qui voulait que je l’appelle…
Merci Gilles.
J’aimeJ’aime
Prendre un contenant vide, le secouer jusqu’à ce qu’il crie et le ventouser sur son coeur pour tout garder….
Merci tracesdusouffle.
J’aimeJ’aime
Le vent fait tomber la vision à la fenêtre, je me suis approché, ça va, tes seins sont en place. Tout penche et tout tombe.C’est une autre histoire, ton corps n’est pas concerné. Il n’a rien de banal…
Merci Anne.
J’aimeJ’aime
Au sentier chair à mon coeur, je vais à dessein balader le vélo..
Merci Célestine.
J’aimeJ’aime
Merci Boris.
J’aimeJ’aime
Merci Elisa.
J’aimeJ’aime