A FRESQUE
Couleurs Frida l’éclat de ses dents mord le printemps
la courbe de sa jupe casse la géométrie du pantalon et ouvre le corset en éventail. Sur le linteau du passage un colibri vient à chanter
Nevada vaste chaîne érigée d’Incas par centaines
du haut des marches le soleil allume ton corps sage que l’âge dirige épanoui
Ce qui tient de la peur découpe son ombre sur l’autel sans sacrifice
Reste à joindre la voix que le silence n’a figé qu’en son, elle se fait sonore dans l’éclat des mots des regards
Venu par le dos du miroir la face de vent qui dégage se double-je.
Niala-Loisobleu – 29 Mars 2018

Joint à la fraîcheur de l’enduit, le pigment vient à fresque percer l’ombre…
Merci Gilles.
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Verticale,
au matin…
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Périscopique…
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Soleil
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Timide dehors…si solide dedans🔆
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Qu’il en détonne plus d’hein…
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J’adore évidemment cette écriture à la lune des temps…
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Accrochée aux marées elle a larmes pour s’émouvoir, sensible avant tout…
Merci
MioModus.
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