L’aigü de ton existence
Une table de bistro, ronds humides que le marbre veine. Cas rare. Le maillet fait écrire le ciseau en mots codés, des oiseaux piroguent sur des bi-plans de la grande guerre qu’un Baron Rouge passe au travers
Ton sein bat le blanc d’eux en n’ai-je ?
La paille te porte plus loin que l’ascèse électrique en dehors des barreaux du château d’If. Tu me dis c’est quoi la mortaise, je te réponds le tenon.
Oh t’écries-tu d’un élan de reins, tenon, tenons-nous bien plus loin que le baiser du dernier souffle, ta bouche me semble toujours l’épaule sur laquelle je peux compter. Ce pique de barbe que le ventre reproduit en jardin secret tire lyre , minou petit chiffon-rose remonte l’iode par son ria où un noeud coulant cherche la petite-mort par strangulation
C’est la d’une que j’préfère à la conjugaison du glissé quand l’oyat ravaudeur de pores, se laine de mes mains. Je te décerne le caillou dans la poche.
Niala-Loisobleu – 12 Mars 2018

Les pieds nus sur le rasoir ça peut pas m’aime pour un faq ir, passer sans trace qui restent..
Merci Boris.
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Un bonjour, Max-Louis, merci
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Et moi alors?
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Excuse My Lady…j’t’avais cru pas dérangeante…j’en ai mal du frustré que ça nous a apporté…Bon Jour que c’est bien sûr !!!!!
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L’ascèse électrique, j’adore.💜🦋💜
Aimer ça au point de se prendre des éclairs dans le plexus, la coquille pleine d’eau et en redemander pourtant…
¸¸.•¨• ☆
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Eh oui, on est masse-ô…c’est pour ça que le contact il peut faire des arcs, on grille pas !!!
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Merci Célestine, excuse-moi, un peu en saccadées-circonstances, j’ai omis de le faire hier…
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Pas grave du tout 🦋
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Oh la gravité a rarement place ici, enfin la vraie…
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