Germaine Montero & Marcel Van Thienen « La ralentie » (1957) d’ Henri Michaux
Entrant dans ton écran autre page, mors au dents et éperons qui bottent sans fanes, me voici quittant la margelle du bord des larmes,
appui de cette fenêtre sur le vide du mal au dos de l’attente.
Te laissant ralentie, la tête géranium rose bouffée par la rouille entre les miettes du roucoulement des pigeons agonis par une campagne de dératisation.
Il aurait suffit que le doigt tendu ne soit pas lu comme index mis. Mots magnifiques, une leçon de vie, que ses tessons n’arrêtent pas au franchissement du mur
Bon Jour Toi Espoir !!!
Ecouté sur ma (petite) pause méridienne…
Un bien fou de gestes plus conscients d’eux-mêmes…
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La pantomime délacée peut marcher pieds-nus , le geste geste spartiate en dit plus qu’une ficelle…
Merci Barbara, à trembler je demeure, le son coupé…
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