
Gré Ment
Sable à l’étendue
le vent pousse la rencontre
au hasard
Du mont émerveille ?
On aime pas à foulées
La liberté des serfs viets
à la folie du pas du tout, disent les yeux de Marguerite au plus lointain entrés…
N-L
11/03/18

Sable à l’étendue
le vent pousse la rencontre
au hasard
Du mont émerveille ?
On aime pas à foulées
La liberté des serfs viets
à la folie du pas du tout, disent les yeux de Marguerite au plus lointain entrés…
N-L
11/03/18
Les commentaires sont fermés.
bah!
il n’est pas encore l’heure des fous laids sur des serfs viets,,à peine l’heure des serfs volants…
Ecrie dit-elle.
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Danger permanent des ballons captifs…mon cheval alors me dit reprenons le chemin…
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équidé joue l’obstacle…
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Et qui dés ne suis pas bonneteau…parieur du tout
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COMPLAINTE DU VERBE ÊTRE
Je serai je ne serai plus je serai ce caillou toi tu seras moi je serai je ne serai plus quand tu ne seras plus tu seras ce caillou.
Quand tu seras ce caillou c’est déjà comme si tu étais n’étais plus, j’aurai perdu tu as perdu j’ai perdu d’avance.
Je suis déjà déjà cette pierre trouée qui n’entend pas qui ne voit pas ne bouge plus.
Bientôt hier demain tout de suite
déjà je suis j’étais je serai
cet objet trouvé inerte oublié
sous les décombres ou dans le feu ou l’herbe froide
ou dans la flaque d’eau, pierre poreuse
qui simule un murmure ou siffle et qui se tait.
Par l’eau par l’ombre et par le soleil submergé
objet sans yeux sans lèvres noir sur blanc
(l’œil mi-clos pour faire rire
ou une seule dent pour faire peur)
j’étais je serai je suis déjà
la pierre solitaire oubliée là
le mot le seul sans fin toujours le même ressassé.
Jean Tardieu
L’hêtre allée lou ya…Merci Max-Louis
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