55 réflexions sur “Henri Michaux / L’oiseau qui s’efface”

1. Un jour où el condor passa
   j’avais tiré dessus.

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   • About portant…

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     • à bout pourtant, oui.

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2. Puis le lendemain
   je l’avais plumé.

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   • On plume pas ce qui se donne…

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     • j’avais besoin de plumes à mon oreille, hé!

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       • Sious ton balcon…

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         • et des bals cons j’en vis cow-boy…

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3. Puis le surlendemain
   je l’avais fait griller.

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   • A la barbe cul ?

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     • à la barbe de tous, cul-terreux et autres.

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       • Le cul terreux témoigne mieux du transit qu’une réforme gouvernemental de la SNCF…

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         • vrai et il chemine haut en vagues…hon..hon…hon…

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4. Le quatrième jour
   je l’avais bouffé.
   Ses nerfs de colère
   et son truc en plumes
   me restèrent sur l’estomac.

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   • Le sac de bile…cale ô…

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     • Il avait des cailles au gosier la pauvre bête et des vers…pas à piquer des hannetons!

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       • Le verre quand il est solitaire s’avale le message à l’amer…

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         • et à la mère itou mais menu freud, hein…

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           • Le menu Freud hein manque de croire à ses rêves…

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             • reste la solution canne à paix.
               (pas osé canne à pêts…)

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               • Osez, osez, le flageolet est de l’orchestre, quelques flattes hulhans, ça lance la charge !

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                 • J’ose et fine, oui mais après ça pue.et quand ya pu …

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             • Un con sciant sans con science ….

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               • Ma foi manquer de science je prends pas ça pour un con pliement pou

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     • sac de bile et guerre des moutons…

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5. Le cinquième jour
   je l’avais vomi
   et les plumes ça chatouille
   le gosier.

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   • Genèse suis pas selle que vous croyez…

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     • et c’est forte de cette croyance-là, qu’à pied ou à cheval je poursuivis mon dessein…

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       • Les desseins faut pas qui tombent à côté des demains…

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         • quand les deux mains brassent de l’air, le con d’or s’enfuit.

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           • Tout con qui dort sur ses deux oreilles se la joue à guichet cadenassé..

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             • aguiché, ferme…Et deux oreilles d’âne ce qui sid mal à un oiseau.

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               • Mais si c’est un martin-pêcheur… y plonge dans l’eau vive..

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     • émoi nom plut…

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6. Le sixième jour
   je l’avais enterré.
   Son corps ridicule de moineau
   mal nourri qui se prenait pour
   un phénix.

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   • Le fait nix détruit…

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     • descendre froide…

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       • Frit Gide fit à pelle à Claudel

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7. Le septieme jour,
   alors que je me reposais fière
   de mon ouvrage
   en jouant de la flûte de pan
   je guettais son chant
   en me demandant
   si Dieu existait…

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8. Zarathoustra passe le démon de dieu
   sans jouer de la trompe de fa loppe
   la montagne est belle…

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9. Il y a tout
   il n’y a rien
   il faut du muscle
   pour l’étire de pigeon
   et bien des ut à sa flûte
   désarmée.

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   • L’atout ❤️
     Ignore le cérébral…

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10. Le cerf ébrâle comme il peut quand l’écart rabine , à plomb j’ai tripe.

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11. L’étripe de quand, carotte..

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12. La carotte ide des halles pendant que l’an douille de vire.

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13. Bon jour,
    Un morceau d’anthologie … vos répliques … j’adore et ai une affection particulière pour vous … 🙂
    Max-Louis

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    • Merci Max-Louis.

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      • Merci pour ce morceau … superbe 🙂

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    • Pour moi vous voulez-dire, Max-Louis?

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      • Je le comprends ainsi.

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      • euh … aussi … 🙂

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        • En fait … j’aime jouer sur les ambiguïtés (parfois)… c’est là mon moindre défaut … 🙂

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14. Il s’agit alors de l’ambiguïté dextre….un art qu’Ali graphe…

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15. et qu’Ali pige!

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    • Et faisons la ronde, sur les ponts d’ah vignons

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