
LE LONG DES FEMMES DE PIERRE
Aux bords des chemins on dit que Rome y mène
sur ma carte là où ils coupé les platanes des statues riment sur leur piedestal
Toutes ont le vert des mousses humides, la pierre ou l’airain des brunes, blondes ou rousses
Ce cambré de la gîte quand le loft pour loft tourne la baume
Les chevaux viennent s’y frotter le crin pour les rendre équestres en bête à deux dos
Puis comme au Mont leur marée arrive au galop
J’oublie l’impasse
Le soleil les attouche sans qu’une plainte menace la nature.
Niala-Loisobleu – 2 Octobre 2022