Se non hai ancora visto questo magico film di 38 secondi, NON PERDERLO! – L’amico a sorpresa del ragazzo Yanomami nella giungla! — Barbara Crane Navarro — Tiny Life


Namowë e la scimmia in shabono – Foto: Barbara Crane Navarro Il mio film di 38 secondi con Namowë, un ragazzo Yanomami della regione dell’Alto Orinoco, Amazonas, Venezuela Bambini Yanomami che guardano il libro “La Magia de la Amazonia” Questo è un estratto dal mio film di momenti della vita quotidiana di una comunità Yanomami […] […]

Se non hai ancora visto questo magico film di 38 secondi, NON PERDERLO! – L’amico a sorpresa del ragazzo Yanomami nella giungla! — Barbara Crane Navarro — Tiny Life

LIEU SEIN


LIEU SEIN

Un temps soit peu paumé, redouble à faire le point, pour se rassembler toi émoi

l’été venu alors que le présent n’a point apparu c’est un comble

Ce matin pendant que tu glissais pour aller garder les trois ou quatre moutons que les parents larguent, j’ai eu de telles visions d’effroi, c’est certains zigs-zags font froid dans le dos, au point de remonter le tant comme on enfile un gilet en embarquant

Le couloir dans son coude obscur n’a pas hésité à redresser sa vérité

on peut glisser sur la berme san aller au fossé

Ce dernier tableau que le précédent avait remis dans la bonne palette, a fait de haut les tours périlleux du trapèze, cette guerre comme n’importe quel type d’autre n’est pas de nous

A voler l’oiseau peut croiser l’aigle sans pour autant perdre sa parenté colombe

l’amour c’est NOUS

tu le vois chaque jour

et tu l’écris sans point à la ligne

2018 montre la vérité sur ce qui n’a pas changé d’EPOQUE

alors le cerisier ne pourra qu’avoir des fruits. Il fait froid mais le soleil te ressemble tellement qu’on en voit plein quand on y regarde de près.

Niala-Loisobleu – 1er Avril 2022

DE LA GLISSE


DE LA GLISSE

Dans le désordre climatique les huluberlus eux-mêmes patinent

ceux qui sortent sans arrêt aux nouvelles vont rester longtemps couchés sur le trottoir

vois-tu bien qu’étant la seule à risquer pour faire ton devoir, te savoir revenue près de ton encrier avec du papier et ta plume ferait mon choix

Le corps dans l’haleine du chien et les yeux dans son ronflement au coin du feu

Je te mettrais des fleurs partout où c’est blanc pour colorer la peur de l’étouffement

Le temps que l’inutile finisse sa gourmandise boulimique y reste peu pour dormir et en corps moins pour lui faire plaisir

Alors peindre autre chose qui te fera rire te permettra de voir que sous le tapis extérieur t’as toutes affaires sans besoin d’aller ailleurs

J’ai parlé au cerisier dans la trompe de ses fleurs. Quelques mots chaleureux l’ont maintenu dans son projet de faire des fruits. On verra, je sais que cinq minutes après être entrés chez eux il y a des gens qui voient leur appartement partir d’un coup de canon. Les enfants arrivent même à chercher leurs parents sous la terre et les pierres

La relativité n’a jamais été aussi présente

Pense à ça et enfile ta langue dans le bleu de mon tableau. Je suis sûr que ça sortira tes jambes des bas et du porte-jarretelles.

Niala-Loisobleu – 1er Avril 2022