DU SOLEIL QUI ME GARDE EN PLAINE
S’étire ton corps aux rives d’un grand fleuve tranquille où scintille la course solaire
quelque chose du collier de perles d’ambre au cou des temples de la plaine tenant naissance permanente dans une apparence contraire
la traversée d’ombres dans laquelle je marche mène à la porte du coq qui se tient ferme à ses aiguilles
Te voici devenue jonque au cap d’une Asie qui dame comme Matisse mon ailleurs résolu sur des encens brûlants pour ne perdre l’odeur de tes pores, mes attaches, sur les cordes d’un si tard
A voir la licorne sauter je reste le seul à ne pas m’étonner de cette présence retenue
nous n’étions pas dès le départ faits pour partager le monde vulgaire
tous mes amours y meurent pour rester vivre dans l’Esprit de couleur de la véritable oeuvre d’Art.
Niala-Loisobleu – 18 Février 2022
Ô mage !
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Alexandre mieux en corps que de l’ô potable…
Alain
J’aimeJ’aime