
PRESENCE
Déjà rien qu’à la courbure des tiges le flou ne résiste pas au brouillard étalé
attachés aux penchements qui défient les lois de l’équilibre établies par les pucelles ignares qui s’esclaffent au passage du minet boutonneux
ta poitrine mature dégringole à la ceinture où les cow-boys mettent leur cheval en pause pour se rincer d’un coup de raide de la trop longue randonnée des vaches
L’espace sans limites encorné de la morne plaine finit par déchausser l’intime parfum qui grimpe aux rideaux
Le cactus laissé au serpent de passage, une nuance de pommier épluche petit à petit l’idée d’offrir mieux qu’un trognon de french-cancan en grand-écart
Matisse surgit en grand-fauve dans le corral…
Niala-Loisobleu – 16 Janvier 2022
tes anémones sont de pures merveilles…
jamais vu d’aussi belles…
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Pour ne rien cacher figure-toi, plutôt non saches qu’elles ont de sel le seul point noir central qui donne la lumière
Pas n’importe laquelle celle du moment de l’union
Quand la tige sent à quel point la feuille sans un mot, mais pas fermée, la tient dans son eau de Grasse en assemblage
Moment où s’écarte ce qui ne saurait rapprocher de la stance, ce monologue à deux corps..
Beau oui…
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J’aime les fleurs que tu as peintes, la passion que tu as imprimées dans leurs couleurs, une beauté.
Merci Alain.
Elvra
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