La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Soulevées par les sabots du galop, des mottes sortent les oiseaux des nids
Le noir des merles en bleuit profondément l’ardoise pour laisser la craie de l’enfant jouer du bâton la course de son cerceau
Dans l’instant présent où sèche le travail du petit-matin, le peintre lève le voile sur ce qui va suivre
Il a laissé sur ses doigts la tendance sienne à l’écart des idées racoleuses
Son caniveau transportant l’eau du cantonnier ne tend pas l’oreille aux gagneuses qui arpentent le trottoir
En tirant son costume marin du placard, le bassin de radoub de sa boîte de photos a mis topless les beaux-jours où Fanny ajoutant le balancement de sa poitrine magnifique à ses mains, le met encore en érection en ouvrant les yeux sur la Côte Sauvage
Ce qui fait que l’ocre qui tourne autour des étangs de Cadeuil finit par plonger au feu
A croupe de cheval les aiguilles cousent les mots-peints du genou à la fourche des cuisses en bâtissant à touffe que veux-tu des tiges aux trémières.
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