La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
La vie n’est bleue qu’en ses rêves, seule cette couleur ne la naufrage pas dans l’amer
Nage en corps jusqu’à l’accrochage de lundi pour flotter sur l’autre traversée
Ecailles contre écailles
Anémone bien ouverte
Corail à bonds dans
Enfant à cache-cache dans ce tiroir d’un grenier champêtre
A lui rire au né
Marvaud et marées
Porte haut ta peinture la gueule ouverte
Comme une parole de chanson d’amour qui pute pas pour le prostituer
Reste humaniste dans ta lucide utopie…
Niala-Loisobleu – 24 Juillet 2021
KATIE MELUA – DREAMS ON FIRE
Busy man, where am I on your list? You’re so full of big ideas Do you think, that we can coexist? Will we be a pair in twenty all your dreams were on fire Which one would you save? When it comes down to the wire Should I… be afraid? Should I… be afraid?
I don’t need the world to be content All I’ll ever need is you Time alone with you is time well spent For me that simple dream will more than do
If all your dreams were on fire Which one would you save? When it comes down to the wire Should I… be afraid? Should I… be afraid?
Homme occupé, où suis-je dans ta liste? Tu es si plein de grandes idées Penses-tu, que nous pouvons coexister? Serons-nous un duo dans vingt ans?
Si tous tes rêves étaient en feu Lequel préserverais-tu? Quand on approche de la fin Devrais-je… être effrayée? Devrais-je… avoir peur?
Peu m’importe si le monde est satisfait Tout ce dont j’aurai jamais besoin c’est de toi Le temps seule avec toi est du temps bien dépensé Pour moi, ce simple rêve est plus que ça
Si tous tes rêves étaient en feu Lequel préserverais-tu? Quand on approche de la fin Devrais-je… être effrayée? Devrais-je… avoir peur?
Si tous tes rêves étaient en feu Lequel préserverais-tu? Quand on approche de la fin Devrais-je… être effrayée? Devrais-je… avoir peur?
D’un ciel porteur d’eau, laver la cour jusqu’au point de départ au Couvent, une manière de prendre les voiles en sortant de la Trappe. L’oiseau, regard plongé dans ce qui fait les choses comme les gens, n’en ayant rien mis de côté, peut avancer en sachant qu’il ne peut changer que ce qui le concerne. Sans doute la dernière au bout d’une longue carrière, mérite de faire en sorte d*être à l’image de ce qui fut au point de départ. Une peinture de vie. Vive comme eau-claire, lave volcanique, saut d’oiseau de branche en branche, rotation droite du sillon de cheval, nacre des regards vers le ciel sans en attendre de miracle, cicatrices des mauvais coups et plaie d’amour saine ouverte contre la gangrène du sentiment. Danse Henri, danse pour la joie que tu m’as apprise, je sors l’harmonie cas…
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