
L’EAU TONNE, L’ABEILLE Y RESTERA
Le temps plus fol que l’herbe
déraisonne
L’oiseau écope l’arbre renversé
Le cheval au bord du sillon tire des pierres du logement pour le grain
De mes reins la résistance bande l’arc-en-ciel
Cathédrale en flèche
Niala-Loisobleu – 17 Jjuillet 2021
L’automne Et Puis…
L’automne va bientôt venir
il commence à faire un peu froid…
On vit bizarrement ce temps;
le jeu de l’homme et de la femme
se fait subtil et plus caché.
Tes yeux sont tendresse un peu lasse;hier y brule comme un bon feu,
tu vois je m’enchante de peu…
L’arbre se défait sur la place.
Comme le temps passe !
L’automne est tout près de venir
avec ses soleils maladroits.
On se dévorait au printemps;
le feu de l’homme se désarme
et l’oubli se donne couché.
De l’artifice à la grimace
on descend le chemin des dieux;
quand je me penche sur tes yeux,
dans ce miroir où je m’efface,
je me dis que le temps passe.
L’automne n’a plus à venir
ni dans tes yeux, ni dans mes doigts.
L’automne, il est là pour longtemps.
Le peu de l’homme qui s’enflamme
Les copains reprennent leur place…
C’est comme ça que le temps passe…
Jean Max BRUA
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