
ARBRE A PART
Entre les lignes tout penche à croire que la voie débouche sur le vide
l’oiseau d’un bout à l’autre de l’arbre fait contre poids bon coeur
accrochant la surprise d’un hochement du chef
cuivres et instruments à cordes
cheval à bascule
prairies aux cornes d’abondance
lingeries affriolantes et pores d’attache
le cheveu sans perruque au naturel là où la caresse affleure l’odorat
Dans l’abri ce mât de cocagne couve en mascaret le lit tari d’un oued émigrant
L’oiseau de ce marais sale à fleur de pot, l’espelette en bandoulière dégagée du cran d’arrêt.
Niala-Loisobleu – 3 Juin 2021
C’est qu’il dégaine l’oiseau des marais…
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Le corps sait ce qui délace…
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