La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
J’ai regardé dans ton téléphone Y avait un mail de Camille Dans ma tête, ça résonne Elle est charmante cette fille Je ne l’ai pas supprimé J’ai attendu que tu le vois Et là, j’ai pu t’admirer En train d’imaginer sa voix
Elle fait pleurer les garçons Qui s’attendrissent devant elle Elle fait pleurer les garçons À qui elle ose dire non Elle fait pleurer les garçons Qui lui disent qu’elle est belle Elle fait pleurer les garçons Et elle a bien raison
Elle fait pleurer les garçons Elle fait pleurer les garçons Elle fait pleurer les garçons Elle fait pleurer les garçons Et elle a bien raison
Langoureuse et sensuelle aux accents de vanille Elle t’emmènera au septième ciel, là où chaque étoile brille Là où chaque étoile brille Là où chaque étoile brille Là où chaque étoile brille Là où chaque étoile brille Brille Brille Brille Là où chaque étoile brille
Elle fait pleurer les garçons Qui lui disent qu’elle est belle Elle fait pleurer les garçons À qui elle ose dire non Elle fait pleurer les garçons Qui lui disent qu’elle est belle Elle fait pleurer les garçons Et elle a bien raison
Elle fait pleurer les garçons Elle fait pleurer les garçons Elle fait pleurer les garçons Parce qu’elle ose dire non
Par le rayon de soleil hors catégorie qui l’éclaire, ma boîte bat en corps par l’oiseau niché dans sa main. Le temps a coulé. Ma dernière conversation remonte au 7 Décembre 2018. Epoque que les moins ne peuvent pas connaître, tant ce qu’elle portait d’espoir naturel, qui n’avait pas besoin de vaccin pour perdurer. La suite quand on l’avance au Centre fait monter le filet d’air dans l’enfoui, sans qu’un anachronisme tente de boucler la page
Le chat est maître de la bambouseraie
ces longs étirements font ses griffes à la densité végétale qu’un sentiment de fond poursuit dans l’organique taire d’hier et d’aujourd’hui
Le mystique y développe la force d’une composition chimique dans laquelle les effets de l’âme prédominent assez pou laisser les erreurs de l’humeur du quotidien loin derrière.
Le banal s’enfonce dans l’ignorance qu’il choisit d’adopter
s’habillant de tout ce qui dissimule
A confondre le système de fonctionnement de la Nature avec ses petites habitudes, l’Ëtre se plante à côté
L’automne mûrit en se tapissant dans le pourrissement , elle est la parturiente qui refuse le déni
La pointe rose de l’oeil qui crève à la branche n’est pas profane, elle initie le printemps dans son ensemble absolu.
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