La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Este é um poema de amor tão meigo, tão terno, tão teu… É uma oferenda aos teus momentos de luta e de brisa e de céu… E eu, quero te servir a poesia numa concha azul do mar ou numa cesta de flores do campo. Talvez tu possas entender o meu amor. Mas se isso não acontecer, não importa. Já está declarado e estampado nas linhas e entrelinhas deste pequeno poema, o verso; o tão famoso e inesperado verso que te deixará pasmo, surpreso, perplexo… eu te amo, perdoa-me, eu te amo…
C’est un poème d’amour doux, si tendre, si tendre … C’est rejoint offrande avec vous des moments de lutte, de brise et de ciel … Et moi, Je veux te servir de poésie dans un coquillage bleu ou dans un panier de fleurs des champs. Peut-être que peux inclut mon amour. Plus sinon dans ce cas, ce n’est pas important. Il est déclaré et tamponné dans les lignes et parmi les lignes de ce petit poème, le verset; le verset célèbre et inattendu thu vous êtes abasourdi, surpris, perplexe … Je t’aime, pardonne-moi, je t’aime …
J’ai caché Mieux que partout ailleurs Au jardin de mon coeur Une petite fleur Cette fleur Plus jolie qu’un bouquet Elle garde en secret Tout mes rêves d’enfant L’amour de mes parents Et tout ces clairs matins Fait d’heureux souvenirs Lointains
Quand la vie Par moment me trahie Tu reste mon bonheur Petite fleur
Sur mes vingt ans Je m’arrête un moment
Pour respirer Ce parfum que j’ai tant aimé Dans mon coeur Tu fleuriras toujours Au grand jardin d’amour Petite fleur
Prend ce présent Que j’ai toujours gardé Même a vingt ans Je ne l’avais jamais donné N’ai pas peur Cueillir au fond d’un coeur Une petite fleur Jamais ne meurt
Roi semé s’il aime hué à vie à terreur roulant Bu à satiété sous le déluge absent Ô clarté
Echelle des yeux aux yeux
Haut bois à même le dallage chaleur de neige noire Couleur de froid à feux de marée Graine houleuse à mollusques ces jambes la montagne à souhaits
Plus divine si coupe à néant y crépitent les méandres et les ménades
Eclaire minuit en ruines mainte dentelle sous mer
En éclat nanties tel le globe irisé prêt à fondre
Sur tes narines d’obsidienne
Diamant taillé en rose qui tourne
Rose d’améthyste barrissant
À la nuit en bronze
Forant les puits scolopendre de jeunesse
Ce col offense ? il déjoue le droit d’aînesse
L’heur de pierre feindre le fer à tondre
Les bagues à chevaux évanouis
Les eaux en chevreuil qui broutent le royaume déchu pour quel dialogue rituel
L’oiseau à miroir ardent gageure de haute couronne
Etoile mon château en apanage Gradué brille à bouillir Plus que de gaîté non à effacer Mais à vouloir paraître attirée Au gouffre fidèle
Éloigne-toi naseau de feu
Enjeu lointain de ma prairie
Tain solaire de telle glace
En tel cuivre bondé d’ivresse
Valet des étuves de la royauté
Halète varlet arpente la digue d’anémones
Carnassier de choix en tête des voyelles
La clairière aboutit à la voie hilare
L’air classé aboie tyran à l’aile
Si pour broyé avons royal ou trône à pied de tonnerre
L’acier décroît tenté aux voiries régulières
Affairé au tri des pièges — Si la neige était à cheval — Si le cheval chavirait en jonc L’été hagard bat la foulée Tapi au bout de la rencontre Jetée de pierre sur le vide Pont aux crustacés que l’agitation Des vantaux subjugue Jusqu’à abolir les éphémérides Aux octrois de successifs mois En massifs en treille de pavots
Pourquoi ce froid accueil des arches
Ce sommeil des sommets ces mets mielleux de songe
Ce gazon qui vire en nuage fleurissant les pierres
anciennes Le gué la baie vers la folie ? O lit ailé au pied marin Lisse les perles l’écume des crêtes
Marcel MouloudjiUn jour je m’en irai sur un bateau tout blanc Aux îles sous le vent, au pays des enfants Ah oui je m’en irai, m’en irai pour la vie Pour les jours et les soirs, les matins et les nuitsJe quitterai Paris, je quitterai la Seine Notre Dame les quais, ma jeunesse et la tienne Je n’irai plus jamais acheter de château, En Espagne ou ailleurs ni faire le zigotoNi traîner ma mollesse de vieux cargo usé Au long des noirs canaux de Paris enfiévré Ni ne finirai plus à minuit Place Blanche Ah je voudrais goûter à mes anciens dimanchesJe quitterai Paris sans même une valise Pour larguer mon passé et toutes mes sottises Je quitterai les fleurs du jardin de ton corps Et ta bouche anonyme et ton cœur qui m’endortJe traînerai ma vie au long des continents Au long des rêveries, au long des océans Et peut être au fin fond d’une mer verticale Entre cieux et nuages et va viendra le calmeUn jour je m’en irai sur un bateau tout blanc Aux îles sous le vent au pays des enfants Ah oui je m’en irai, m’en irai pour la vie Pour les jours et les soirs, les matins et les nuitsUn jour je m’en irai sur un bateau tout blanc Aux îles sous le vent au loin, loin oui mais quand Ah oui je m’enfuirai m’enfuirai pour la vie Pour les jours, pour les nuits, pour la mort sans soucis
Le chemin s’était enfoncé dans les branches, cependant par une chambre à air gardée pour agrémenter le rechignement des enfants à la toilette, venait une étrange musique d’où s’échappaient des bulles de savon. Sans doute la vraie machine à laver écolo. Celle qui tient la couleur en son vif et passe les vilaines traces hors de vue – au moins pour un temps
Echo nommique ?
Pas toujours. Pourtant bien que difficile à comprendre, non-détachable de tolérance ça aide quand la frustration est au bord d’une réaction de sortie
Quand bien m’aime ?
C’est là que la réponse se trouve
Derrière trouvez l’anomalie
Le mystère ne peut avoir de parenté avec la boule gomme, sinon c’est un bruit comme le net en raffole qu’il cabale pour le plus grand bonheur de la course au like
Sous mon chapeau, lô live à me pousser comme ce membre qui devient genre
C’est noueux
Sans rien cacher des états d’âme
Dans l’enfoncement des yeux le fruit gonfle multipliant les grains dans sa substance, que ça peut éclater d’énergie (la grenade, la figue, la mangue, pour ne dire qu’eux)
Chemise blanche en signe de pureté que le noir profilé rehausse.
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