10 réflexions sur “Andreï revient à la maison (extraits), Faïna Grimberg”

1. Les pluriels battent l’obsession et la répétition
   J’ai le coeur éprouvé à l’entendre…
   Viens avec moi à la maison par les chemins les plus ensoleillés, le monde est sans dessus-dessous…

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   • J’ai monté tous les étages du soleil à travers la pluie du dehors et dedans réunis. Un Dimanche plein comme il est rare, où les courses changèrent de listes.Depuis le cadre rouge d’une Transe-Migration 4 les allés sont venus dans accidents. Encadrement du corps dans l’étoile. Que de pluriels pour tenir aux cheveux de la comète. Mais faut dire qu’à la bonne taille le pied fait face. Nos chemins barbotent tels des canetons en convoi. Quelques chansons de marche dans la voix…
     Un bon jour, Ma, vraiment..:

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     • La fée soucieuse de nos doigts a œuvré pour…Vivre c’est un peu comme on danse, on a plaisir à recommencer dès que ça se termine…Il y a de la rosée fraîche au fond des bouches…

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       • Mollet rond
         Gente Dame
         La lice
         Plus elle tremble du galop des chevaux
         Plus de baisers la bouche se remplit…

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         • Plaisir enfantin à te voir heureux les yeux sur l’échelle du mollet…

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           • Je retrousse les
             yeux mollets
             Jusqu’au soleil bleu…

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             • Il n’y a que comme ça qu’on ne finit pas brouillés

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               • Et ça maintient le n’œuf dur..

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                 • Sur le plat le jaune du n’oeuf garde tout son mystère…

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2. Eh oui le mystère de la peau qui jette surprise…

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