A FLANC DE COTEAU
C’est tout vert dans lequel du blanc se fait maisons
Les palmiers hélicent la vague à remouer les cordes vocales
Le plus gros coquillage est au corail d’une barre et pilote en eaux territoriales
Tête penchée la voix off s’est attelée au pas du cheval, l’ocre chemin lui est en diagonale
La montagne, tranquille, laisse Zarathoustra dans l’espace voué au solaire, aucune éolienne ne trouble le paysage. Au douzième coup du zénith le carillon a fait sortir la scène de son lit, sur la place la guitare fait la Manche, être tas n’est pas de mise. Chevaux de bois d’un manège, sous la jupe le concile se déroule.
Niala-Loisobleu – 24/09/19

tes siestes te mettent en joie Mon…voila un bien tendre paysage…
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ça m’allonge au grenier à sel, Ma…
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