LA CROISIERE S’HUMUS
La paresse dominicale remonte avec peine l’obscur d’une panne de courant, comme si la cause intestinale avait l’angoisse de sortir. Il va falloir tenir l’humeur sous surveillance, la mauvaise ayant la sale habitude de s’octroyer le droit d’aînesse. J’ai vu la graisse adipeuse du voyeur sur l’échelle de coupée avant que l’abordage ait pu avoir lieu. Les Cyclades restent joignables.
Ô idéal apporte-nous ce que la pluie nous doit d’indemnité pour excès solaire. Que les jambes de l’herbe resurgissent de la semelle de leurs racines.
Quand cette époque jetait son acné le champignon parfumait les forêts. Les arbres se faisaient complices de l’assemblage des mous avec les glands et les mousses.
Je débretellerai ton caraco pour la levée d’écrou de tes chiens joyeux, sans aller à la chasse on ira les conduire aux canards, une aréole avec un col-vert ça fait ton de saison.
Au poil frétillant sous la caresse de l’ondée la nature remonte jusqu’à l’homme tout ce qui lui reste d’animal.
Niala-Loisobleu – 22/09/19

Oh oui, allons seulement parés de l’anémone d’or d’une alliance donner à manger aux canards…
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Nous nagerons nus de concert avec eux , palmes partagées…
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Nous fendrons l’eau à la coupe de nos envies…
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