Voici « LES TERRIERS IV » le cinquantième de cette nouvelle Epoque 2019 avec BARBARA AUZOU.
C’est un travail à quatre mains , merci d’en tenir compte dans vos commentaires et vos likes.

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J’ai tourné mon regard Sur la roue le pétale Pourpre frotté au vent Qui s’étonnait qu’une goutte d’eau Fasse tout le ciel. J’étais en retard sur l’éternel.
Je suis entré pieds nus J’ai murmuré le nom des plantes Et celui des oiseaux Pour mieux te connaître Ô ma changeante Ma paradoxale À la fenêtre d’un sommeil ailé.
Et j’ai tout vu. Et je t’ai dit à voix basse Qu’il faisait beau aux veines de la terre Têtue qui nous effleure. Comme le vent secouait l’étoile légère Qui enfanterait à nouveau Plus loin que demain.
Éperdu au matin j’ai écouté L’oracle des puits et celui des fleurs: Ce que je t’ai donné m’a appris Qui je suis.
Barbara Auzou. |
Je ne m’étonne plus qu’une goutte d’eau fasse tout le ciel et le retard pris sur l’éternel dort dans l’oracle des puits…
Mon, merci…
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Les puits quand prenant mon seau et ma baguette de sourcier je ais allo, une voix me dit rentre ici plus avant tu n’auras plus jamais soif, Ma,
Merci pour la sonorité de ces mots que ton encre charge à la plume. Vois-tu, Ma, pris où tu sais, je suis arrivé en retard bien qu’en avance d’un autre.
Mais comme c’est bon d’aimer..
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On est à l’heure, Mon… Nous en avons en RESERVE…
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Et l’heur c’est l’heur, sacre bleu m’aime qu’on est vachement en avance au tant qui recule…
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« Ce que je t’ai donné m’a appris
Qui je suis. » Que c’est beau !… vraiment ! Je vous embrasse tous les deux.
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Où il est visible qu’apprendre serre …
T’embrasse, Eva, merci…
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Je t’embrasse avec plein de bras de mer Eva…Merci.
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La constance est la forme d’assurance que je préfère elle donne sans compter, merci pour la tienne Domi…
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» c’est un arbre grand très haut qui se penche sur l’été pour veiller la mer ……… »
Le poème nous offre le bonheur de déplacer les bornes de l’oubli
Vent de pétales roses sur maison aimée …
» Ce que je t’ai donné m’a appris qui je suis »
belle déclaration qui donne le vertige et balaie la mélancolie du temps …..
Merci à tous les deux ……..
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Merci Jane.
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Le poème ne trouve sa voix que dans la couleur qui lui a été préalable…
Merci Jane, je t’embrasse…
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