
TABLE OUVERTE
Du milieu de la marelle garde la craie en main
et par la terre qui fend cherche à tenir l’odeur du peint
il reste de l’eau vertébrale en bas de la nuque de la fontaine
c’est un passage ouvert aux arceaux des regards tournesols du caillou
un clin d’oeil outremer pique une tête dans l’écume en éperonnant le cheval
de la pierre à fusil le vin s’est chargé comme le soufre tire la réflexion du cabinet
vois si l’herbe frémit sous la pierre c’est la vie qui demande à boire le prochain bourru
Niala-Loisobleu – 16/09/19
Ma foi si le prochain bourru pouvait un peu retarder sa venue mon héliotropisme s’en verrait ragaillardi, Mon…
J’étais là et j’accomplissais contre les cadenas de l’intérieur, tu connais toi la douleur d’un art offert et mal reçu et comme ça vous laisse dans le doute de tout alors meme qu’on s’y était engagé tout entier…C’est comme une ampoule immense et blanche qui se balance lentement dans un ciel vide…Comment ne pas avoir peur? Il me semblait avoir interrogé l’arête du verbe et puis ses fibres…
J’ai mené ce jour mes taches absente à moi-meme renouant connaissance avec l’amont et l’aval simultanément…
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Pour entrer on peut devoir passer par la sortie, c’est la clef la moins évidente mais souvent le seul rossignol…
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Je ne veux pas renoncer à ce qu’il y a d’absolu sous les pas…
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L’absolu est incompatible avec le renoncement..:
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Merci Gabrielle.
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